Questionnaire pour parents d’enfants entre 4 et 6 ans à l’école maternelle

 

Questionnaire pour parents d’enfants entre 4 et 6 ans à l’école maternelle

Chers parents de ________________________ !

Entre-temps nous avons pu gagner une connaissance assez bonne de votre enfant. Nous avons remarqué que votre enfant exprime quelques interêts et capacités différents de ceux de la plupart des enfants du même âge. Dans le but de nous permettre de mieux comprendre le dévéloppement et les necessités de votre enfant, nous vous prions de bien vouloir remplir le questionnaire suivant. Les informations fournies peuvent nous aider à mieux faire progresser votre enfant. Toute information va être traitée de manière confidentielle.

Par la suite, nous voudrions vous inviter à un entretien personel pour vous décrire nos impressions et pour réfléchir ensemble comment nous pouvons accompagner optimalement votre enfant dans son dévéloppement personnel à l’école maternelle.

Et maintenant les questions.

Date: _______________

Age de l´enfant: _______ ans _______ mois

1) Quels sont actuellement les jeux / les jouets préférés de votre enfant, à la maison?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

2) A quoi votre enfant s’intéresse-t-il spécialement ces derniers temps?

_______________________________________________

_______________________________________________

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3) Est-ce que actuellement votre enfant a un livre, une cassette audio, un CD ou un DVD préféré(e)? Si oui, lequel?

O Oui O Non

Si oui, lequel?

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_______________________________________________

4) Il y a-t-il une émission télévisée pour enfants ou une autre émission qui plaît beaucoup à votre enfant?

O Oui O Non

Si oui, laquelle?

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5) Quels sont les points forts de votre enfant, à vos yeux?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

6) Croyez-vous que votre enfant est plutôt

O plus indépendant

O aussi indépendant ou

O moins indépendant

que d’autres enfants du même âge?

7) Est-ce que votre enfant va à l’école maternelle chaque matin (ou presque) avec plaisir?

O Oui O Non

8 ) Votre enfant raconte-t-il ce qu’il a vécu à l’école maternelle?

O Oui O Non

Voulez-vous citer un exemple récent?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

9) Votre enfant raconte-t-il avec qui il a joué à l’école maternelle?

O Oui O Non

10) Votre enfant raconte-t-il ce qu’il a appris à l’école maternelle?

O Oui O Non

Voulez-vous citer un exemple récent?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

11) Est-ce que votre enfant souvent ne veut pas aller à l’école maternelle?

O Oui O Non

Si oui: Est-ce qu’il dit pourquoi il ne veut pas y aller?

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_______________________________________________

12) Votre enfant aime-t-il surtout jouer avec

O des enfants du même âge environ?

O des enfants plus jeunes?

O des enfants plus âgés?

13) Il y a-t-il un enfant à l’école maternelle avec qui votre enfant voudrait être ami?

O Oui, il s’agit de: _______________ . O Oui

14) A votre avis, qu’est-ce qui dérange le plus votre enfant à l’école maternelle?

1. ________________________________________________

2. ________________________________________________

3. ________________________________________________

15) Croyez-vous que votre enfant se comporte différamment à l’école maternelle et chez soi? Ou voyez-vous les différences?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

16) Est-ce qu’il y a des comportements de votre enfant que vous régardez avec souci?

O Non

O Oui, il s’agit de:

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

17) Quand votre enfant s’occupe de quelque chose qui l’intéresse beaucoup, pendant combien de temps est-il alors capable de se concentrer?

_______________________________________________

_______________________________________________

18) Quelles sont les occupations sur lesquelles votre enfant peut se concentrer le plus longtemps?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

19) A la maison, est-ce que votre enfant montre de l’intérêt pour

O les chiffres?

O les lettres de l’alphabet?

O apprendre à lire?

O apprendre à écrire?

20) Quelle idée de l’école se fait votre enfant?

(plusieurs réponses sont possibles)

O Il a une idée concrète de l’école parce qu’il a une soeur ou un frère plus âgé(e).

O Il ne s’intéresse pas encore vraiment pour l’école.

O Il préférerait y aller dès maintenant.

O Il se fait des soucis concernant l’école.

O Pour l’instant, il a (encore) des idées peu réalistes concernant l’école.

21) Que pensez-vous du vocabulaire de votre enfant?

21 a) En allemand, il a un vocabulaire …

O de taille moyenne

O plus restreint que d’autres enfants du même âge

O plus étendu que d’autres enfants du même âge

21b) Dans sa langue maternelle (si ce n’est pas l’allemand), il a un vocabulaire …

O de taille moyenne

O plus restreint que d’autres enfants du même âge

O plus étendu que d’autres enfants du même âge

22) Que pensez-vous de la capacité de pensée de votre enfant? Elle est …

O dans la moyenne

O inférieure à la moyenne

O supérieure à la moyenne

23) Quel est le sujet sur lequel, actuellement, votre enfant pose le plus grand nombre de questions?

Pourriez-vous citer quelques exemples pour ces questions?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

24) Sur quoi est-ce que votre enfant aime rire?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

25) Que pensez-vous de la confiance en soi de votre enfant?

O Sa confiance en soi est plutôt faible concernant les tâches suivantes:

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

O Sa confiance en soi est plutôt forte concernant les tâches suivantes:

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

26) Il y a-t-il quelque chose dont votre enfant se ne croît pas capable, bien que vous pensiez qu’il pouvait bien y arriver?

O Non.

O Oui, il s’agit de:

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

27) Remarquez-vous de temps en temps des propos ou des comportements chez votre enfant qui vous étonnent ou surprennent?

O Non.

O Oui, il s’agit de:

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

28) Est-ce que vous avez des questions à nous poser?

O Non.

O Oui, j’aimerais savoir …

_______________________________________________

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_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

Merci beaucoup pour vos réponses.

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Questionnaire dévéloppé par Hanna Vock, IHVO Bonn, 2006

Traduction: Rita Vock, Köln

© Hanna Vock, siehe Impressum .

Questionnaire for Parents for 4- to 6-Years Old Children in Kindergarten

See also:
German version, Turkish version, French version, Polish version, Spanish version.

 

Dear parents of ____________________ !

By now we have come to know your child rather well. We have noticed that your child shows interests and abilities that are somewhat different from his/her peers in age. For a better understanding of your child’s developmental stage and his/her special educational needs we ask you to fill in the following questionaire. The information you are giving to us shall be very helpful in fostering your child adequately in our daily work. All particulars given to us will be handled confidentially.

Subsequently we would like to confer with you in order to give you an account of our impressions and to discuss how we can accommodate an optimal development for your child in our kindergarten.

The questions:

Date of answering: _______________

The child´s age: ________________

1) What / with what does your child like to play at home the most?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

2) What are presently your child’s foremost interests?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

3) Does your child presently have a favourite songbook, audio-cassette, CD or DVD? If so, which?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

4) Is there any children’s TV programme your child likes to watch and wants to see ever new sequels of ?

O Yes. O No.

If yes, which?

_______________________________________________

_______________________________________________

5) What are your child’s strong points?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

6) Do you think that your child is

O more independent than

O as independent as

O less independent than

his / her peers in age?

7) Does your child mostly enjoy going to kindergarten?

O Yes. O No.

8 ) Does your child talk about what he/she has been experiencing in kindergarten?

O Yes. O No.

9) Does your child tell you, with whom he/she has been playing?

O Yes. O No.

10) Does your child tell you what he/she has learned in kindergarten?

O Yes. O No.

11) Would your child often prefer not to go to kindergarten?

If so: Does he/she say why?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

12) Whom does your child prefer to play with?

O children of about the same age

O notedly younger children

O notedly older children

13) Is there a child in kindergarten whom your child would like as a friend?

O Yes, his/her name is: ______________. O No.

14) According to your impression, what does your child dislike the most about kindergarten?

1. ________________________________________________

2. ________________________________________________

3. ________________________________________________

15) Do you think that your child displays a different conduct in kindergarten as compared to at home? What differences do you see?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

16) Does your child display behavourial patterns which you are concerned about?

O No. O Yes, these are:

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

17) What is your child’s maximum attention span when strongly immersed in something?

_______________________________________________

_______________________________________________

18) Which activities are the most binding for your child’s concentration?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

19) When at home – does your child display interest in

O numbers?

O characters (alphabet)?

O learning how to read?

O learning how to write?

20) What is your child’s opinion about school?

(several choices possible)

O He/she has been conveyed certain ideas about school by an older sibling.

O He/she is not really interested in the issue of school yet.

O He/she is eager to go to school.

O He/she thinks of school with a degree of unease.

O He/she (still) has rather unrealistic ideas about school.

21) What is your evaluation of your child’s vocabulary –

21 a) in German?

O average

O smaller than that of his/her peers in age

O greater than that of his/her peers in age

21b) in his/her native language, if this is not German?

O average

O smaller than that of his/her peers in age

O greater than that of his/her peers in age

22) What is your evaluation of your child’s intellectual power?

O average

O below average

O above average

23) What topic does presently raise a great many questions for your child? Could you give an example of one such question?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

24) What makes your child laugh?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

25) What is your evaluation of your child’s self-confidence?

O He/she tends to be less self-confident when facing the following demands:

______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

O He/she tends to be very self-confident when facing the following demands:

______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

26) Is there something, which your child does not think he/she could handle, while you do think he/she could?

O No. O Yes:

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________


27) Do you sometimes encounter utterances or behaviour by your child which really surprise you?

O No. O Yes:

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

28) Would you like to ask us something?

O No. O Yes, I would like to know:

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

Thank you very much for answering these questions.

____________________

Developed und ©by Hanna Vock, Director of IHVO Bonn; 2006.

Translation: Arno Zucknick, Berlin.

Elternfragebogen für Kinder im Alter von 4-6

 

Im Folgenden finden Sie einen im IHVO erarbeiteten Fragebogen, den Sie kopieren können, um ihn Eltern zur Verfügung zu stellen. Beachten Sie dabei bitte, dass manche Eltern vielleicht durch die Bezeichnung „Hochbegabtenförderung“ im oberen Teil der Seiten irritiert werden könnten, wenn sie sich mit dem Thema Hochbegabung noch gar nicht und vor allem nicht in Bezug auf ihr Kind befasst haben. Schätzen Sie dies bitte ein; Sie können den Kopf der Seiten in diesem Fall abdecken, bevor Sie die Seiten kopieren.

Den Begriff Hochbegabung vorsichtig verwenden

Für Fortbildungszwecke oder bei Weitergabe an Fachkolleginnen benutzen Sie aber bitte die vollständigen Seiten.

Erfahrungsgemäß möchten manche Eltern den Fragebogen gern zu Hause in aller Ruhe und in Absprache mit dem Partner bearbeiten. Andere nehmen Ihre Hilfe dankbar an und füllen den Bogen lieber mit Ihnen zusammen aus.

Sie können den Bogen auch als Gesprächsleitfaden für ein Elterngespräch nutzen.

Sie finden hier im Handbuch zwei im IHVO erarbeitete Fragebögen für Eltern. In einigen Fragen stimmen die Fragebögen überein, aber in einigen Fragen unterscheiden sie sich auch: Der erste richtet sich an Eltern, deren Kind erst kurze Zeit im Kindergarten ist. Der zweite sollte verwendet werden, wenn das Kind bereits längere Zeit im Kindergarten und mindestens vier Jahre alt ist.

Für Eltern, die mit der deutschen Sprache nicht ausreichend vertraut sind, finden Sie den Fragebogen auch in folgenden Versionen:

Englisch
Polnisch

Französisch

Türkisch
Spanisch

Siehe auch:

Ein ausgefüllter Fragebogen als Beispiel

Handbuch Hochbegabtenförderung in Kindertagesstätten

Herausgeber: IHVO Bonn, www.IHVO.de
© Hanna Vock, Sept. 06,
siehe Impressum

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Eltern-Fragebogen

für 4- bis 6-jährige Kinder im Kindergarten

Sehr geehrte Eltern von ________________________ !

Uns ist aufgefallen, dass Ihr Kind einige andere Fähigkeiten und Interessen zeigt als die meisten gleichaltrigen Kinder. Damit wir den Entwicklungsstand und die Spiel- und Lernbedürfnisse Ihres Kindes genauer verstehen können, bitten wir Sie, den folgenden Fragebogen auszufüllen. Ihre Informationen können uns helfen, Ihr Kind im Kindergartenalltag angemessen zu fördern. Alle Ihre Angaben werden vertraulich behandelt.

Gerne möchten wir Sie anschließend zu einem Gespräch einladen, um Ihnen unsere Eindrücke zu schildern und gemeinsam mit Ihnen zu überlegen, wie wir Ihr Kind im Kindergarten in seiner Entwicklung optimal begleiten können.

Nun zu den Fragen.

Datum der Beantwortung: ___________

Alter des Kindes:____ Jahre ____ Monate.

1) Was / womit spielt Ihr Kind zu Hause zurzeit am liebsten?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

2) Wofür interessiert sich Ihr Kind zurzeit besonders?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

3) Hat Ihr Kind zurzeit ein Lieblingsbuch oder eine Lieblingskassette oder

eine Lieblings-CD / -DVD?

O Ja. O Nein.

Wenn ja, welche?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

4) Gibt es eine Kindersendung oder eine andere Sendung im Fernsehen, die Ihr Kind gerne sieht und von der es immer wieder neue Folgen sehen will?

O Ja. O Nein.

Wenn ja, welche?

_______________________________________________

_______________________________________________

5) Was sind die Stärken Ihres Kindes?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

6) Glauben Sie, dass Ihr Kind

O eher selbstständiger

O etwa so selbstständig

O weniger selbstständig

ist als gleichaltrige Kinder?

7) Geht Ihr Kind jeden Morgen (oder fast jeden Morgen) gerne in den

Kindergarten?

O Ja. O Nein.

8) Erzählt Ihr Kind, was es im Kindergarten erlebt hat?

O Ja. O Nein.

Möchten Sie ein Beispiel aus der letzten Zeit nennen?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

9) Erzählt Ihr Kind, mit wem es im Kindergarten gespielt hat?

O Ja. O Nein.

10) Erzählt Ihr Kind, was es im Kindergarten gelernt hat?

O Ja. O Nein.

Möchten Sie ein Beispiel aus der letzten Zeit nennen?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

11) Möchte Ihr Kind öfter nicht in den Kindergarten gehen?

O Ja. O Nein.

Wenn ja: Sagt es, warum es das nicht möchte?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

12) Spielt Ihr Kind am liebsten mit

O etwa gleichaltrigen Kindern?

O deutlich jüngeren Kindern?

O deutlich älteren Kindern?

13) Gibt es ein Kind im Kindergarten, das sich Ihr Kind als Freund/Freundin

wünscht?

O Ja, und zwar ist das: _______________ . O Nein.

14) Was stört Ihr Kind Ihrer Einschätzung nach im Kindergarten am

meisten?

________________________________________________

________________________________________________

________________________________________________

15) Glauben Sie, dass Ihr Kind im Kindergarten ein anderes Verhalten zeigt

als zu Hause ? Wo sehen Sie die Unterschiede?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

16) Gibt es Verhaltensweisen Ihres Kindes, die Sie mit Sorge betrachten?

O Nein.

O Ja, und zwar:

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

17) Wie lange kann Ihr Kind sich konzentrieren, wenn es mit Eifer bei einer

Sache ist?

_______________________________________________

_______________________________________________

18) Bei welchen Beschäftigungen kann sich Ihr Kind besonders lange

konzentrieren?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

19) Zeigt Ihr Kind zu Hause Interesse

O an Zahlen?

O an Buchstaben?

O am Lesen lernen?

O am Schreiben lernen?

20) Welche Meinung hat Ihr Kind zur Schule?

(Mehrfachnennung möglich)

O Es hat durch eine ältere Schwester oder einen älteren Bruder

eine Vorstellung davon, wie Schule ist.

O Es interessiert sich noch nicht wirklich für die Schule.

O Es möchte am liebsten jetzt schon in die Schule gehen.

O Es macht sich Sorgen in Bezug auf die Schule.

O Es hat (noch) ganz unrealistische Vorstellungen von Schule.

21) Wie schätzen Sie den Wortschatz Ihres Kindes ein –

21 a) in der deutschen Sprache?

O durchschnittlich

O kleiner als bei Gleichaltrigen

O größer als bei Gleichaltrigen

21b) in seiner Muttersprache, falls das nicht Deutsch ist?

O durchschnittlich

O kleiner als bei Gleichaltrigen

O größer als bei Gleichaltrigen

22) Wie schätzen Sie das Denkvermögen Ihres Kindes ein?

O durchschnittlich

O unterdurchschnittlich

O überdurchschnittlich

23) Zu welchem Thema hat Ihr Kind zurzeit besonders viele Fragen?

Können Sie hier eine der Fragen als Beispiel aufschreiben?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

24) Worüber lacht Ihr Kind gern?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

25) Wie schätzen Sie das Selbstvertrauen Ihres Kindes ein?

O Es hat ein eher schwaches Selbstvertrauen bei folgenden

Anforderungen:

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

O Es hat ein eher starkes Selbstvertrauen bei folgenden

Anforderungen:

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

26) Gibt es etwas, das sich Ihr Kind nicht zutraut, obwohl Sie glauben, dass

es das könnte?

O Nein.

O Ja, und zwar:

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

27) Beobachten Sie mitunter Äußerungen oder Verhaltensweisen bei Ihrem

Kind, die Sie erstaunen oder überraschen?

O Nein.

O Ja, und zwar:

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

28) Haben Sie Fragen an uns?

O Nein.

O Ja, und zwar möchte ich gerne wissen:

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

Herzlichen Dank für die Beantwortung der Fragen.

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© Hanna Vock 2004, siehe Impressum .

Anaokulundaki ilk altı aylık dönem için veliler anketi

 

Anaokulundaki ilk altı aylık dönem için veliler anketi

____________________ ´nin değerli velileri!

Geçtiğimiz dönemde çocuğunuzu yakından tanıma fırsatımız oldu. Bu zaman zarfında çocuğunuzun çoğu yaşιtlarιndan farklι ilgialanlarι ve becerileri olduğunu gözlemledik. Çocuğunuzun gelişimini ve oyun- ve öğrenim ihtiyacιnι daha iyi anlayabilmemiz için sizden ricamιz aşağidaki anketi doldurmanιzdιr. Sizden aldιğιmιz bu bilgiler bize anaokulundaki günakιşιnda çocuğunuzun eğitimini gerekli şekilde geliştirmemizde yardιmcι olacaktιr. Yapmiş olduğunuz bütün açιklamalar güvenilir ve saklι tutulacaktιr.

Bunun sonucundada bir sohbette size gözlemlerimizi açιklayιp, beraber değerlendirme yaptιktan sonra çocuğunuzu gelişiminde en iyi şekilde nasιl destekleyeceğimize karar vereceğiz.

Şimdi sorular.

Cevaplandırma tarihi:_______________

1) Çocuğunuz evde olduğu zaman bu dönem en çok ne ile oynuyor?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

2) Çocuğunuz nelere en fazla ilgi gösteriyor?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

3) Çocuğunuzun bu dönem çok sevdiği bir Kitap veya Kaset veya CD/DVD

Varmı?

Varsa, ne?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

4) Çocuğunuzun televizyonda izlediği bir çocukproğramı veya başka bir proğram varmı?

O Evet. O Hay ı r.

Varsa, ne?

_______________________________________________

_______________________________________________

5) Çocuğunuzu güçlü olduğu özellikleri nelerdir?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

6) Sizce ç ocuğunuz yaş ı tlar ı na nazeren

O kendi iradesi ile birşeyler yapabiliyor.

O bazen kendi iradesi ile birşeyler yapabiliyor.

O kendi iradesi ile birşeyler yapmakda zorlanıyormu?

7) Çocuğunuz her sabah (yada nerdeyse her sabah) severek anaokuluna gidiyormu?

O Evet. O Hayır.

8 ) Çocuğunuz anaokulunda ne oynadıgını anlatıyormu?

O Evet. O Hayır.

9) Çocuğunuz anaokulunda kiminle oynadığınıi anlatıyormu?

O Evet. O Hayır.

10) Şimdi lütfen çocuğunuzun henüz anaokuluna gitmediği dönemi bir düşünün.

10a) Ozamanlar çocuğunuz anaokuluna gideceği i çin seviniyormuydu?

O Evet. O Hayır.

Sevincini nasıl gösteriyordu?

__________________________________________

__________________________________________

__________________________________________

10b) O zamanlar çocuğunuz anaokuluna olan beklentilerini ve düşüncelerini ifade ediyormuydu?

O Evet. O Hay ı r.

Ediyorsa, bunlar ne idi?

__________________________________________

__________________________________________

__________________________________________

10c) O zamanlar çocuğunuz anaokuluna gitmekten korkuyormuydu veya tedirginmiydi?

O Evet. O Hayır.

Evet ise, bunu nasıl gösteriyordu?

__________________________________________

__________________________________________

__________________________________________

11) Çocuğunuzun sık sık anaokuluna gitmek istemediği oluyormu?

O Evet. O Hay ı r.

Evet ise: Nedeni ne? Söylüyormu?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

12) Çocuğunuz

O yaşıtlarıylamı

O kendisinden kü ç üklerlemi

O kendisinden büyüklerlemi

Oynamakdan hoşlanıyor?

13) Çocuğunuzun anaokulunda oynamakdan hoşlandığı ve sık sık bahsettiği bir arkadaşı varmı?

O Evet, ismide: ______________. O Hayır.

14) Sizce çocuğunuzu anaokulunda en fazla ne rahatsız ediyor?

1. ________________________________________________

2. ________________________________________________

3. ________________________________________________

15) Çocuğunuz anaokulunda evde olduğundan farklı bir tavır sergilediğini düşünüyormusunuz? Sizce fark nerede?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

16) Çocuğunuzun sizi düşündüren tavırları varmı?

O Hayır.

O Evet, ş unlar:

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

17) Çocuğunuz hoslandığı birşeye ne kadar süre dikkatini verebiliyor?

_______________________________________________

_______________________________________________

18) En fazla hangi uğraşlara çocuğunuz dikkatini veriyor, konsantrasyon gösteriyor?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

19) Çocuğunuz evde

O sayılara

O harflere

ilgi gösteriyormu?

20) Çocuğunuz ne zamandan itibaren tam cümleler kurarak konuxtu?

_______________________________________________

21) Sizce çocuğunuzun kelime hazinesi (bilgisi) ne kadar?

O normal

O yaşıtlarına nazaren az

O yaşıtlarına nazaren fazla

22) Sizce ç ocuğunuzun düşüncebecerisi nas ı l?

O normal

O yaşıtlarına nazaren zayıf

O yaşıtlarına nazaren kuvvetli

23) Hangi konu hakkında çocuğunuz bu dönem fazlaca soru soruyor?

Örnek olarak bir kaç sorusunu yazarmısınız?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

24) Çocuğunuz en çok nelere gülüyor?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

25) Aşağıdakilerden hangisi çocuğunuzun hareketlerini yansıtıyor?

O Yeni durumlara karşı ürkek davranıyor.

O Yeni durumlara karşı cesaret sergiliyor.

O Bilgilenme azmi yüksek.

O Cevab ı n ı ald ı ğ ı soruyu yinede tekrar soruyor.

O SeÇeneği varsa yetixkinlerle oynamay ı tercih ediyor.

O SeÇeneği varsa ç ocuklarla oynamay ı tercih ediyor.

O Evde çok boya boyuyor.

O Kalabalık ortamlarda utangaç ve çekingen.

O Birşeyler yaparken konuşmakdan hoşlanıyor.

O Yaşadığı şeyleri bana/bize anlatmakdan hoşlanıyor.

O Uzun zaman önce yaşadığımız şeyleri hatırlıyor, mesela:

26) Çocuğunuzun sizi eleştirdiği durumlar oluyormu?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

27) Çocuğunuzda sizi şaşırtan veya hayrete düsüren ifadeler veya davranışlar gözlemliyormusunuz?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

28) Bize sormak istediğiniz sorular varmı?

O Hayır.

O Evet, bilmek istediğim şeyler:

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

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Anketim ı zi doldurduğunuz i ç in teşekkürler.

Tercüme: Nazlι Baykuş

Cuestionario para padres durante el primer semestre de escolarización en el parvulario

 

Cuestionario para padres durante el primer semestre de escolarización en el parvulario

Queridos padres de ____________________ !

Hemos tenido oportunidad de conocer a su hijo/a. Nos ha llamado la atención que demuestra capacidades, aptitudes e intereses diferentes a los niños de su misma edad. Para poder comprender mejor el punto de desarrollo en el que se encuentra su hijo/a, así como para satisfacer mejor sus demandas precisas de aprendizaje y de juego, les rogamos que rellenen el presente cuestionario. Su información nos puede ayudar a fomentar su día a día en el parvulario convenientemente. Todos sus datos serán tratados confidencialmente.

A continuación, nos gustaría invitarles a mantener una charla para exponerles nuestras impresiones y así buscar conjuntamente con ustedes un camino más óptimo de acompañamiento para su hijo durante esta etapa de parvulario.

Ahora nos ocupamos de las preguntas.

Fecha de las respuestas:_______________

Edad de su hijo/a: _____ años _____ meses

1) ¿A qué/ con qué juega su hijo preferiblemente en casa actualmente?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

2) ¿Qué es lo que más le interesa a su hijo actualmente?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

3) ¿Tiene su hijo/a actualmente un libro de imágenes preferido o un cassette-CD-DVD preferidos?

O Sí. O No.

Si la respuesta es afirmativa, ¿cuál?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

4) ¿ Existe algún programa infantil de televisión u otro tipo de emisión televisiva que su hijo/a disfruta viendo?

O Sí. O No.

Si la respuesta es sí, ¿cuál?

_______________________________________________

_______________________________________________

5) ¿Cuáles son a sus ojos las fuerzas de su hijo/a?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

6) ¿Creen que su hijo/a es

O más bien más autónomo

O más o menos igual de autónomo

O menos autónomo

que los niños de su misma edad?

7) ¿Su hijo/a va cada mañana (o casi cada día) con gusto al parvulario?

O Sí. O No.

8 ) ¿Le cuenta su hijo/a sus experiencias vividas durante el día en el parvulario?

O Sí. O No.

9) ¿Le cuenta su hijo/a con quién ha jugado en el parvulario?

O Sí. O No.

10) Piensen por favor en los tiempos en que su hijo todavía no acudía al parvulario.

10a) ¿Se alegró su hijo, en su momento, manifestamente, de poder acudir al Parvulario?

O Sí. O No.

¿Cómo lo exteriorizó?

__________________________________________

__________________________________________

__________________________________________

__________________________________________

10b) ¿Con razón de acudir al parvulario, expresó su hijo/a a la sazón expectativas de cómo se lo imaginaba?

O Sí. O No.

Si la respuesta es sí, ¿cuáles?

__________________________________________

__________________________________________

__________________________________________

10c) ¿Tuvo su hijo/a en aquellos tiempos, preocupaciones o miedos por la idea de acudir al parvulario?

O Sí. O No.

Cuando la respuesta es sí, cómo se manifestaron éstos?

__________________________________________

__________________________________________

__________________________________________

11) Sucede a menudo que su hijo/a no quiere ir al parvulario?

O Sí. O No.

Cuando la respuesta es sí: Explica él/ella el por qué no quiere ir?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

12) Su hijo/a juega preferiblemente

O ¿con niños aproximadamente de su misma edad?

O ¿con niños claramente más pequeños?

O ¿con niños claramente más mayores?

13) ¿Hay en el parvulario un niño concreto con el que su hijo se entiende especialmente bién y del cuál habla a menudo?

O Sí, es cierto y es: ________________. O No.

14) En su opinión, ¿qué es lo que maś le molesta a su hijo en el parvulario?

1. ________________________________________________

2. ________________________________________________

3. ________________________________________________

15) ¿Percibe usted, que su hijo manifiesta en el parvulario un comportamiento distinto al que tiene en casa? ¿En qué se diferencia?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

16) ¿Hay muestras de comportamiento de su hijo que usted observa con preocupación?

O No.

O Sí, la(s) siguiente(s):

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

17) ¿Cuánto tiempo se puede concetrar su hijo cuando trabaja con pleno afán en una cosa?

_______________________________________________

_______________________________________________

18) ¿En qué tipo de actividad se puede concentrar preferiblemente su hijo/a para un largo espacio de tiempo?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

19) ¿Demuestra su hijo/a en casa interés por:

O los números?

O las letras?

20) ¿Desde cuándo habla su hijo utilizando frases completas?

_______________________________________________

21) ¿Cómo valora usted el vocabulario de su hijo?

O promedio

O más pobre que el de los niños de su misma edad

O mas rico que el de los niños de su misma edad

22) ¿Cómo valora usted la capacidad de pensar de su hijo/a?

O promedio

O por debajo de la media

O por encima de la media

23) En este momento, ¿sobre qué tema le pregunta más su hijo?

¿Puede escribir a continuación alguna de estas preguntas a modo de ejemplo ?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

24) ¿De qué se ríe su hijo con gusto?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

25) Qué cualidades pueden aplicarse a su hijo/a?

O Es más bien miedoso/a ante situaciones nuevas.

O Es más bien valiente ante nuevas situaciones.

O Es curioso.

O Si recibe la respuesta a una pregunta formulada, suele preguntar de nuevo para
profundizar sobre el tema.

O Si puede elegir, prefiere jugar con los adultos.

O Si puede elegir prefiere jugar con niños.

O Pinta mucho en casa.

O En grupos grandes se muestra tímido y más bien retraído.

O Le gusta hablar mientras está ocupado en algo.

O Le gusta contarme/contarnos sus experiencias.

O Recuerda cosas que le han sucedido hace mucho tiempo, por ejemplo:

26) ¿Hay situaciones en las que su hijo le critica algo que está haciendo?

O Sí. O No.

Si la respuesta es sí, ¿quiere mencionar un ejemplo?

_______________________________________________

_______________________________________________

_______________________________________________

27) ¿Observa usted comentarios o comportamientos en su hijo que le asombran o sorprenden?

O Sí O No.

Cuando la respuesta es sí, pueden citar un ejemplo?

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_______________________________________________

28) Tiene preguntas adicionales para nosotros?

O No.

O Sí, quisiera saber:

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_______________________________________________

Muchas gracias por responder a las preguntas.

___________

Traducciόn: Elisabeth Vallés Rovira, Altafulla/ España

© Hanna Vock 2004

Briefe von Eltern

Beispiel 3

(in anonymisierter Form)

Herzlichen Dank für die Erlaubnis zur Veröffentlichung!

In diesem Brief wird berichtet, in welchem Maße Glück und Schulerfolg hoch begabter Kindes von der Informiertheit der Pädagogen zum Thema Hochbegabung abhängen.

Sehr geehrte Frau Vock,
herzlichen Dank für Ihre Informationen, heute und in der Vergangenheit!

Als Großmutter von zwei hoch begabten Enkelkindern, 7 und 11 Jahre alt, haben wir die leidvollen Erfahrungen in diversen Kindergärten hinter uns gebracht.
Und darum werde ich eine Kopie Ihres hilfreichen Handbuches an den Kindergarten, in dem unsere Enkeltochter war, weiterleiten.

Wir haben genau dasselbe bei einem Kindergartenausflug mit einer
„schnellen S-Bahn“ mit der Enkeltochter erlebt, was Sie in dem Artikel „Ängstlichkeit und Vor-Sicht bei hoch begabten Kindern“ beschreiben.
Später wurde der „Zwischenfall“ von der Leiterin als „die einzige Panne in diesem Jahr“ dargestellt! Obwohl sie von der Hochbegabung wussten, konnten sie nicht damit umgehen. Das hätten wir schon damals, so wie Sie es beschrieben haben, wissen müssen!

Nun erleben wir leider wiederum bei unserer siebenjährigen Enkeltochter die totale
Unterforderung in der Grundschule.
Da wir glauben, dass bei Mädchen die Sache oft nicht so dramatisch verläuft – anders als wir sie beim Enkelsohn erlebt haben – bauen wir nun bei ihr mehr auf soziale Bindungen innerhalb der Klasse (beim Enkelsohn gab es Nachteile, bis hin zum Mobbing durch die Lehrerin und durch Schüler).
Dieses Mal haben wir die Schule nicht über die Hochbegabung der Enkeltochter informiert, da schon der normale Unterricht in der Klassse (der zweiklassig läuft) für sie nicht befriedigend sein kann. Sie meint: „Dafür ist die Lehrerin aber sehr nett“!

Absolut positive Vergleiche hatten wir zum Schluss der Grundschulzeit unseres Enkelsohns in der Poller Grundschule bei der Schulleiterin Frau Breidert und bei Herrn Naujeck (beide nicht mehr an der Schule) kennen gelernt. Das waren Lehrer, wie man sie sich nur wünschen kann, mit Verstand und Herz!

Die Schulnoten, in der Grundschule nur 1 und 2, sanken dann anfangs im Gymnasium auf 5 und 6.

Meine Tochter und ich haben viele Kurse und Vorträge über Hochbegabung besucht, viel Informationsmaterial und Bücher gelesen, sodass wir sehr gut über dieses Thema Bescheid wissen.

Unsere Enkelkinder sind getestet worden. Der Enkelsohn mit fünf und elf Jahren (Ergebnis IQ 134), die Enkeltochter mit sechs Jahren (IQ 130).
Leider ist das Thema Hochbegabung nur sehr schwer in der Gesellschaft und bei einigen Lehrern anzubringen.
Langsam, nach vielem Drängen und mit Informationsmaterialverteilung konnte unser Enkelsohn in einem Gymnasium auf Verständnis stoßen.
Ein hervorragendes Lehrerkonsortium hat neben seiner gewiss anstrengenden Aufgabe sich dann doch noch außerordentlich bemüht, sich gut informiert und unserem Enkel sehr geholfen!!! Nun ist er bei den Noten langsam Richtung 3 bis 4 und wir hoffen, dass es weiter bergauf geht.

Es war ein sehr mühsamer Weg, der ohne unser zähes Bemühen sehr schlecht ausgegangen wäre!
Diese Geschichten über hoch begabte Kinder hören Sie sicher täglich, und so wünsche ich Ihnen auch weiterhin viel Kraft, die vielen Missstände in gute Bahnen zu lenken!
Alles Gute und liebe Grüße.

 

Datum der Veröffentlichung: 19.1.10

Beispiel 2

(in anonymisierter Form)

Herzlichen Dank für die Erlaubnis zur Veröffentlichung!

Im Folgenden schildert eine Mutter, deren Tochter bereits als hoch begabt getestet wurde, wie unglücklich ihre Tochter mit ihrer Kita geworden ist. Dass die meisten Erzieherinnen in ihrer Ausbildung nichts über „Hochbegabung und die Folgen“ erfahren – was ihnen nicht anzulasten ist -, zeigt hier seine problematischen Auswirkungen: ein zerrüttetes Verhältnis zwischen Kind und Kita.

Sehr geehrte Frau Vock,

neulich las ich in Ihrem Handbuch im Internet und stellte fest, dass sich einige Abschnitte des Textes in unserem Leben widerspiegeln.

Unsere Tochter, die jetzt viereinhalb Jahre alt ist, besuchte im August 06 erstmals den Kindergarten. Bereits im November 06 wurde ich von den Erzieherinnen angesprochen, ob wir sie nicht einmal auf Hochbegabung testen lassen wollten, da sie in sämtlichen Bereichen über den Sphären der anderen Kindern schwebe.

Im Dezember 06 wurde dann durch eine Testung eine extreme Hochbegabung festgestellt.
Ich muß dazu sagen, daß mein Bruder und ich auch zu dieser Spezies Mensch gehören, ebenso ein Cousin.

Dass unsere Tocher ihren Altersgenossen nicht nur etwas voraus ist, war eigentlich allen klar:

Mit 17 Monaten summte sie komplexe Melodien, sie sprach sofort in 5-Wort-Sätzen, sprach von sich nur in der Ich-Form. Mit gerade 2 Jahren war sie so wissend, dass die Kursleiterin im Englischkurs unseres Sohnes (für 6-8jährige) ernsthaft meinte, sie könnte mit den großen Kindern mithalten. Sie erklärte mit 22 Monaten den Kondensstreifen eines Flugzeugs und interessierte sich für die verschiedenen Profile von Autoreifen. Auch erklärte sie Begriffe wie Adaption.

Seit dem Kindergarten das Ergebnis der Testung bekannt ist, haben wir das
Gefühl bekommen, dass unsere Tochter der Institution lästig wird.

Der Psychologe, der sie getestet hat, bat darum, dass sie im Kindergarten Extra-Aufgaben bekommen sollte. Sie bekam einmal ein Puzzle, welches sie fertigstellen sollte, während alle anderen draußen toben sollten. Sie wollte jedoch mit raus und sperrte sich gegen dieses Puzzle. Die Erzieherin behauptete dann: Unsere Tochter hätte ja keine Ausdauer, sich länger einer Aufgabe zu widmen.

Lächerlich, da sie kaum zu stoppen ist, wenn sie stundenlang über ihren
zahlreichen LÜK-Heften sitzt. Dabei handelt es ich um die Übungen für Vorschul- und Schulkinder.

Sie hat im Kindergarten nur noch eines der Mädchen, welches sie als Spielpartner
akzeptiert. Dieses Mädchen ist 2 Jahre älter, hat einen 13jährigen Bruder und wirkt reifer und ruhiger als die anderen Mädchen der Gruppe.
Der einst liebste Kindergarten-Freund darf seit einigen Wochen nicht mehr
mitspielen. Unsere Tochter: „Er versteht die Spiele doch nicht, er ist noch zu
klein dafür.“

Als das anfing, begann sie sich zu weigern, den Kindergarten überhaupt noch zu
besuchen. Sie würgt so lange, bis sie sich erbricht. Als Grund nennt sie:
„Da gibt es keine Aufgaben für mich“. Sie hat den Erzieherinnen deutlich klar gemacht, dass der Kindergarten für sie langweilig ist. Die einzige Reaktion, die sie daraufhin bekam: „Hier ist es doch nicht langweilig“.
Damit war die Sache für die Erzieherin erledigt.

Dann bekam ich den Rat: „Sagen Sie ihrer Tochter, sie muss in den KiGa gehen; wenn sie das nicht tut, dann darf sie nicht zum Schwimmen und auch nicht zum Englischkurs.“

Unsere Tochter trainiert mittlerweile 1x pro Woche beim Schwimmen mit
7-10jährigen Kindern in der Gruppe für das Bronzeabzeichen. Zusätzlich hat sie noch eine Privatschwimmstunde, weil sie so nach Herzenslust gefördert wird,
so wie sie es wünscht. Man sieht dann ein rundumzufriedenes Kind!!
Anschließend geht sie zur Englischgruppe, wo sie Anschluss und Spaß hat.
Jetzt möchte sie noch Ballett machen und am liebsten noch mehr schwimmen.

Was mache ich nur mit dem Kindergarten?! Auf der einen Seite sagen sie, dass unsere Tochter sämtliche Fähigkeiten und Fertigkeiten bereits mit in den Kindergarten brachte, woran das normal-intelligente Kind jahrelang arbeiten muss.
Ich höre momentan nur, wie sie versuchen ihr Verhalten als negativ und unreif darzustellen.
Wenn sie im Kindergarten erzählt, was sie beim Schwimmen geschafft hat, dann habe ich beobachtet, dass sie keinerlei Reaktionen erfährt. Wenn sie dann mal weint, weil sie unglücklich ist, erfährt sie immerhin negative Reaktionen.

Mir widerstrebt es, meine Tochter weiter dorthin zu „prügeln“. Es erscheint mir als seelische Prügelei, wenn ich das Kind freitags schon neben mir sitzen habe, und es fängt an zu weinen, weil das Wochenende schnell vorbei ist und der Kindergarten naht.
Immer wieder betont sie, dass sie nie mehr in den Kindergarten geht. Als sie bei
meiner Mutter war, schrieb sie dem Kindergarten sogar einen Brief, in dem sie
mitteilte, dass sie nicht mehr kommen wird.

Sie ist schon in der Schule angemeldet, quereinsteigen kann sie hier jedoch nicht.

Ich hoffe, dass Sie mir, bzw. uns weiterhelfen können und wünsche noch einen angenehmen restlichen Sonntag, ….

 

Weiterhelfen können wir mit unseren begrenzten Mitteln durch Beratung der Eltern, durch Fortbildung direkt in den Kitas und dadurch, dass wir möglichst vielen Erzieherinnen und Erziehern die Möglichkeit eröffnen, sich zu Fachkräften für Hochbegabtenförderung weiter zu bilden.

(Siehe auch die Liste der Kitas, in denen mindestens eine von uns zertifizierte Fachkraft für Hochbegabtenförderung arbeitet.)

So konnten wir zwar schon etlichen Kindern und Familien helfen – insgesamt wirken unsere Bemühungen (und die Bemühungen Anderer, die sich in dieser Richtung engagieren) aber noch wie ein Tropfen auf dem heißen Stein. Es wäre wichtig, dass sich die Fachschulen und Fachhochschulen flächendeckend für das Thema Hochbegabtenförderung öffnen.

Hanna Vock

Datum der Veröffentlichung: 12.2.08

Beispiel 1

(in anonymisierter Form)

Herzlichen Dank für die Erlaubnis zur Veröffentlichung!

Stellvertretend für etliche Briefe von Eltern drucken wir hier den Brief einer Mutter ab. Der Brief zeigt, wie sorgfältig und doch verunsichert Eltern reagieren, wenn ihr Kind überraschende Fähigkeiten und Interessen zeigt.

 

Sehr geehrte Frau Vock, sehr geehrte Frau Teeke,

ich habe eben ihr Handbuch im Internet gefunden und mit Interesse darin gelesen. Seit einiger Zeit beschäftige ich mich mit dem Thema, da mein Sohnemann, wie man so schön sagt, ein ziemlich pfiffiges Kerlchen ist. Seit über einem Jahr überrascht er mich immer wieder. Er ist sehr interessiert am Rechnen und an Zahlen – und wie ich finde, ist er da auch schon sehr weit. In vier Monaten wird er fünf Jahre alt. Seit über einem halben Jahr macht er Puzzle mit 200 Teilen komplett alleine, kennt die Zahlen im 100er Bereich (die Autobahn-Nummern erkennt er im Vorbeifahren – A542, B229, auch wenn sie ihm unbekannt sind – , Dezimalzahlen auf dem Thermometer kann er auch benennen, ebenso die Uhrzeiten auf Digitaluhren. Zählen kann er auch schon seit über einem halben Jahr bis 200 (ich denke, auch noch weiter, da er das Prinzip verstanden hat, aber wenn man ihn bittet, dies zu tun, blockt er ab… :-)) )

Ich möchte Ihnen jetzt gerne drei Beispiele aus den letzten Tagen schildern:

Als ich seiner kleinen Schwester ein 50ct Stück gab und ihm zwei 20ct Stücke, sagte er, er bräuchte noch ein 10ct Stück, dann hätten beide 50ct.

Als er die Sendung vor dem Sandmännchen guckte, erschien in unserem Fernseher unten links eingeblendet, von wann bis wann die Sendung läuft (18.40-18.50), und rechts stand die Uhrzeit (18.45). Daraufhin sagte er, es dauere noch 5 Minuten, bis zum Sandmännchen.

Neulich fragte er mich, welcher Tag denn heute ist (Dienstag). Da sagte er zu mir, dann sind es nur noch 4 Tage, bis wir an die Ostsee fahren (Samstag).

Er fängt auch im 100er Bereich an zu rechnen, im zwanziger ist er schon recht sicher (plus und minus).

Warum ich Ihnen das alles schreibe? Ich bin mir im Moment ziemlich unsicher, was mit meinem Sohn los ist. Er ist sehr eigensinnig, und es ist schwer, an ihn ranzukommen. Wenn er was nicht möchte, blockt er komplett ab und ist auch mit nichts zu kriegen. Besuche beim Kinderarzt sind eine Katastrophe, auf andere Menschen geht er nur sehr ausgewählt zu, mit seinen Erziehern im Kindergarten redet er kaum. Wenn er zu Jemandem allerdings Vertrauen gefasst hat, stellt er ohne Ende Fragen und löchert die Leute (was ich auch sehr schön finde, auch wenn es manchmal schon anstrengend ist, zu versuchen, alle Fragen zu beantworten.)

Auch im Hinblick auf die Schuluntersuchungen, die ja im nächsten Jahr anstehen, bin ich ein wenig in Sorge, ob er dort mitmachen wird (den Sprachtest für 4jährige hat er im ersten Durchgang komplett verweigert und im zweiten gerade so noch die Kurve bekommen, obwohl er für sein Alter wirklich sehr gut spricht.) Ich möchte einfach nicht den Zeitpunkt, etwas für ihn zu tun, verpassen.

Mir fällt es auch schwer, mit den Erzieherinnen oder dem Kinderarzt über eine eventuelle Hochbegabung zu sprechen, weil ich Angst habe, dann als Übermutter oder als Mutter da stehe, die möchte, dass ihr Kind überdurchschnittlich begabt ist. Ich hoffe, sie verstehen mich nicht falsch, aber das Einzige, was ich möchte, ist meinem Kind die Zukunft so einfach wie möglich zu machen.

Ich habe mich schon auf einigen Seiten im Internet umgeschaut und es passen halt viele Verhaltensweisen, die dort bei hochbegabten Kindern beschrieben werden, auf meinen Sohn. Er hat auch im Umgang mit Gleichaltrigen Probleme und eigentlich kaum richtige Freunde. Er ist sehr besitzergreifend, alles, was andere Kinder gerade zum Spielen haben, möchte er auch haben, im Kindergarten geht er oft auf Kinder zu und rempelt sie einfach so an.

Viele Leute sagen mir, das sind alles nur Phasen, das haben ihre Kinder auch, aber diese Phasen dauern mir schon zu lange und sind auch sehr ausgeprägt.

Ich würde mich wirklich sehr freuen, wenn sie mir Tipps geben können, wie ich mit der ganzen Situation umgehen kann und ob es ratsam ist, ihn auf Hochbegabung testen zu lassen oder ob Sie dazu keinen Anlass sehen. Wenn ja, wo kann ich das machen lassen?

Vielen lieben Dank schon mal im voraus, …

 

Der hier beschriebene Vierjährige zeigt zurzeit großes Interesse an Zahlen und am Rechnen. Die Fähigkeiten, die er in diesem Bereich schon erlernt hat, sind für sein Alter weit überdurchschnittlich. Dies lässt eine weit überdurchschnittliche intellektuelle Begabung vermuten. (Ob er „hoch begabt“ ist, also zu den 2 bis 3 Prozent am höchsten Begabten zählt, kann zu einem passenden Zeitpunkt durch eine Testung geklärt werden.)

Die beschriebenen sozialen Verhaltensweisen sind für etliche sehr begabte Kinder in diesem Alter typisch. Sie weisen auf eine Unterforderung und auf einen Mangel an adäquaten Spielkontakten hin, was zu prüfen wäre.

Dies zu prüfen und gegebenenfalls Abhilfe zu schaffen, können Erzieherinnen in entsprechenden Fortbildungskursen lernen.

Siehe auch:
IHVO-Zertifikatskurse.

Hanna Vock

Datum der Veröffentlichung: 12.2.08

Einsatz von Eltern als Experten

Vortrag bei der 4. IHVO-Fachtagung am 5.5.07

von Beate Kroeger-Müller

 

Was sind Experten? Sind es nicht die Kenner und Könner, Fachleute, Spezialisten und auch Wissenschaftler, die sich in Vielzahl in unseren Kindergärten „getarnt als Eltern“ tummeln?

Genau so ist es. Unsere Aufgabe als ErzieherInnen sollte es sein, diese Sachkenner aufzuspüren und anzusprechen. Aber wie fang ich es gut an, diese Eltern, die für den Kindergarten so wichtig sein können, für meine Idee, sie als Experten für die Einrichtung zu nutzen, zu begeistern?

Bei uns sind Eltern höchst erwünscht.

 

Der erste Schritt wird sein, dass wir ErzieherInnen lernen müssen, neu auf die Eltern zu zugehen, indem wir sie vom ersten Augenblick an wertschätzen und respektieren. Uns sollte klar sein, dass die Eltern die absolute Schlüsselrolle bei der Erziehung ihrer Kinder haben. Dazu brauchen einige Eltern ein Mehr an Beistand und Ermutigung durch uns, die Erzieherinnen. Jedoch die Mehrheit aller Eltern erzieht intuitiv richtig, und wir müssen bereit sein, Eltern als Personen anzuerkennen, die wissen, wo sie stehen, wer sie sind und welche Grundregeln im Miteinander gelten. Sie sind bemüht, diese Regeln, an ihre Kinder weiterzugeben.

… kurz gefasst…

Wie wäre es, wenn alle Beteiligten am Kindergartenleben ein Team wären? Kinder, Eltern, ErzieherInnen, vielleicht auch Großeltern.

Wie der Einbau solcher Experten gelingt und wie groß die Erfahrungsvervielfachung sein kann, davon berichtet dieser Beitrag.

Uns Erzieherinnen verbindet nicht nur die nahe pädagogische Arbeit mit den Kindern an unserer Arbeitsstelle, sondern auch der Kontakt und Austausch mit den Vätern und Müttern unserer Einrichtung.

Damit dies von Beginn an positiv gelingen kann, muss schon im Erstkontakt den neuen Eltern vom Team signalisiert werden, dass wir sie als Elternteil willkommen heißen: „Wir freuen uns sehr, dass Sie sich für unsere Einrichtung interessieren“, ist ein Satz, den ich immer sage, um neue Eltern als willkommene und gerngesehene Gäste zu begrüßen und um ihnen ein zweites, neues Zuhause nahe zu bringen, in dem sich nicht nur ihr Kind, sondern sie selbst sich auch wohl fühlen sollen. Denn schon während des ersten Gespräches können Sympathie, Vertrauen und vor allem Verbindlichkeit am einfachsten angebahnt werden. Hierbei beginne ich schon gezielt durch Fragen, zum Beispiel „Was spielen Sie besonders gerne mit Ihrem Kind?“ oder „Was macht Ihnen am meisten Freude im Miteinander mit Ihrem Kind“ herauszufinden, wo Interessen und Freuden der Eltern im Zusammensein mit ihrem Kind liegen. Vielleicht erfahre ich auch im Erstgespräch schon etwas über ihre berufliche Situation, ihre Hobbys oder ihre Freizeitgestaltung. Dieses neue Wissen mache ich mir zu Nutze, im Hinblick auf eine eventuelle Einsatzmöglichkeit der neuen Eltern für die Einrichtung.

Die eigene Einstellung zählt.

 

Damit von Beginn an im Kindergarten ein „Wohlfühlklima“ für die Eltern mit ihren Kindern entstehen kann, ist es wesentlich, mit welcher Haltung und Einstellung ich meiner Arbeit und der Einrichtung gegenüberstehe.

So frage ich mich beispielsweise: „Besteht ein gutes Klima innerhalb des Teams, gibt es einen respektvollen Umgang miteinander, ist genügend Wertschätzung den Kindern und der Elternschaft gegenüber vorhanden?“

Denn das eigene Wohlbefinden ist eine wesentliche Voraussetzung für einen gelungenen Umgang mit Eltern.

Unsere Grundhaltung den Eltern gegenüber sollte davon ausgehen, dass die Eltern für ihre Kinder normalerweise das Beste wollen. Einige wissen vielleicht nicht, wie sie das erreichen können. Meine Aufgabe sehe ich jedoch darin, den verunsicherten Eltern Handwerkszeug anzubieten und ihnen zu zeigen, wie man damit arbeiten kann. Denn wenn wir Eltern für die Arbeit in unseren Kindergärten gewinnen möchten, müssen sie von uns stärker unterstützt und ermutigt werden – und auch die Freiheit von uns bekommen, Fehler machen zu dürfen. Statt den Eltern ein schlechtes Gewissen einzureden, versuchen wir eher den Eltern Anreize zu geben und sie als adäquate Gesprächspartner anzusehen, mit denen wir uns interessiert und vertrauensvoll austauschen wollen.

Reger Kontakt zu den Eltern, Einzelgespräche, Hausbesuche sind Möglichkeiten, um auch orientierungslosen Eltern Unterstützung anzubieten und interessierte Eltern weiterhin zu stärken.

Denn oftmals fühlen sich junge Eltern einfach nur alleingelassen und wünschen die Möglichkeit nach Austausch und Orientierung. Am Besten trifft es ein afrikanisches Sprichwort: „Es braucht ein ganzes Dorf, um ein Kind großzuziehen.“

Bieten wir doch den Eltern, wenn schon nicht ein ganzes Dorf, so doch vielleicht unseren Markt der Möglichkeiten an, öffnen wir ihnen die Türen, wo Austausch, Information, Unterstützung und sich Einbringen möglich sind.

Sobald jedoch Eltern signalisiert bekommen, dass sie nur Hinbringer/in und Abholer/in ihrer Kinder sind, die sich wenn möglich unsichtbar verhalten sollen, oder die nur als Störungen im morgendlichen Kindergartenablauf gesehen werden, ist es nicht verwunderlich, wenn sie sich bald als unzufriedene Nörgler hervortun und wir von ihnen nicht die Unterstützung bekommen, die uns und der Einrichtung so gut tun würde.

Wie mache ich mir Eltern zu Experten?

 

In unserer Einrichtung, einer Elterninitiative, nehmen Eltern eine wichtige Rolle in der täglichen Arbeit mit den Kindern ein. Denn wir sehen die Eltern in einem größeren Kontext: Sie sind ExpertInnen in ihrem Beruf, haben Familienangehörige mit unterschiedlichem, kulturellem Hintergrund. Sie haben in ihrem Leben schon Erfahrungen gesammelt, die sie zu der Person werden ließen, die uns jetzt gegenübersteht.

Diese Eltern signalisieren mir, dass sie die nächsten Jahre nahe an der Entwicklung ihres Kindes teilhaben wollen, und dass sie bereit sind, unsere Arbeit unterstützend zu begleiten. Diesen Reichtum an Kompetenzen und Lebenserfahrungen der Eltern versuchen wir in der Zusammenarbeit mit ihnen in unsere Einrichtung zu integrieren.

Die Eltern nutzen nicht nur unsere Angebote und Möglichkeiten zur Elternmitwirkung, sondern sie werden aufgefordert, Vorschläge von den Kindern oder Projekte verantwortlich mitzugestalten und auch als aktiv Mitwirkende umzusetzen. So erst kürzlich geschehen, als eine Gruppe der Vorschulkinder nach einem Museumsbesuch voller Begeisterung beschloss, auch so leben zu wollen wie die Mongolen, was das Thema der Ausstellung war. In den nächsten acht Wochen erfuhren wir durch die tatkräftige Unterstützung der Eltern, wie es gelingen kann, eine Jurte (Rundzelt der Mongolen), zu bauen. Kindermöbel wurden von einer Mutter und den Kita-Kindern mit bunten Mustern bemalt. Wir lernten, wie man Buttertee kocht und wie Grießfladen und -brei zu bereitet wird. Eine Mutter, die als Hobby große Filzflächen herstellt, wurde von den Kindern tagelang bei der Herstellung eines Filzteppichs unterstützt, der den Boden der Jurte schmücken sollte. Väter lehrten die Kinder die Handhabung von Pfeil und Bogen, Reiterspiele und Wettkämpfe wurden geübt, um das Projekt in ein Mongolenfest mit Geschichten, Liedern und Tänzen münden zu lassen.

Hierbei erleben Mütter und Väter, dass ihr Mittun im Kindergarten, im partnerschaftlichen Miteinander sich zu Gunsten der Arbeits- und Angebotsqualität für ihre Kinder auswirkt. Denn ohne die Exzellenzen der Elternschaft mit einzubinden, wäre Vieles innerhalb unserer pädagogischen Arbeit mit den Kindern unmöglich umzusetzen.

Mit den Talenten der Eltern halten wir einen Schatz in den Händen.

 

Es wäre schade, diese Ressourcen, den wichtigen Rohstoff vieler Einrichtungen, ungenutzt zu lassen oder ihn gar zu ignorieren – und damit zwangsläufig den hohen Gewinn für unsere Kindergartenkinder zu verschenken.

 

Darum fragen wir bei den Eltern nach, welche Fähigkeiten, Talente oder Kompetenzen sie besitzen und welche sie uns und den Kindern zur Verfügung stellen möchten und können. Wir beobachten, unterstützen und begleiten die Eltern bei ihren Elterndiensten, soweit sie es möchten oder einfordern.

Väter und Mütter als Entwicklungsbegleiter aller Kinder

 

Eltern sind für die soziale, intellektuelle und emotionale Entwicklung ihres Kindes hoch bedeutsam. Damit spreche ich selbstverständlich Väter wie Mütter in gleicher Weise an. Wenn die Elternmitarbeit sich im Wechsel gleichermaßen auf Männer und Frauen verteilt, brauchen wir uns nicht über extreme „Übermütterung“, bei gleichzeitiger „Unterväterung“ zu beklagen. Denn es ist schön zu sehen, wie sowohl Mütter als auch Väter schnell lernen „auf Augenhöhe“ mit Kindern zu spielen und sich in die provisorischen Spielregeln der Kinder einzufühlen.

Von der Elternmitarbeit, vor allem dann, wenn die Eltern als Experten zu uns kommen, um uns zum Beispiel den Motor ihres Motorrades zu erklären, die Funktion einer Dampfmaschine zu erläutern, oder zu zeigen, wie ein Fahrradreifen repariert wird, profitieren wir alle, Groß und Klein.

 

Insbesondere bietet sich für das außergewöhnlich begabte Kind die Möglichkeit und Gelegenheit, sein Wissen oder seine Begabung zu zeigen und durch die neuen Inputs, die von Eltern herein getragen werden, seinen Interessenhunger zu stillen. Vor allem sind Fragen an die Elternexperten die Quellen, aus denen die hoch begabten Kinder neue Anregungen und Unterstützung ihrer Interessen schöpfen können. Seien es Themen aus der Naturwissenschaft, der Geschichte oder Tätigkeiten aus dem Alltag – Vieles kann für das hoch begabte Kind von Interesse sein und wichtige Informationen bereitstellen.

Erst im Austausch mit Eltern als Experten haben auch meine Kollegin und ich zusammen mit den Kindern lernen dürfen, wie beispielsweise ein Vulkan zu seinem Ausbruch kommt, wie es ist, in eine dunkle Erdhöhle zu klettern, um die Fledermäuse zu hören, wie es ist, einen großen Filzteppich herzustellen, wie viel Zeit und Arbeit es braucht, eine Geige anzufertigen, einem Ring seine Fassung zu geben, einen Salto auf dem Trampolin zu schaffen.

Wie schön ist es, die Großmutter als Märchenerzählerin mit einzubeziehen, die pensionierte Grundschul-Lehrerin, die regelmäßig Tanztheater einstudiert und die leckersten Bratäpfel der Welt herstellt, einzubinden und und und.

Ein gut überlegtes Elternmitmachmodell ermöglicht es allen Kindern und ErzieherInnen der Einrichtung, neue Anregungen zu erleben und Abwechslung in den Kindergartenalltag zu bringen.

Ein Reichtum von unermesslichem Wert

 

wird uns tagtäglich vom Einsatz unserer Eltern als Experten offeriert. Ich hoffe, dass dieser Vortrag Ihnen Mut macht zu überlegen, wie es sein könnte, aus einer Einrichtung keine Festung zu machen, hinter der Sie sich vor den Eltern verschanzen können, sondern eine freundliche Begegnungsstätte für Kinder und Eltern, in der ich signalisiere: „Schön, dass Sie heute bei uns sind.“

 

Copyright © Beate Kroeger-Müller 2007, siehe Impressum.
Datum der Veröffentlichung 5.5.07

Einmal leben wie die Mongolen

 von Beate Kroeger-Müller

 

Wie kam es zu diesem Thema?

In unserer Kita arbeiten wir viel in Projekten. Der Projektgedanke setzt an den Alltagserfahrungen der Kinder an. Unsere Rahmengestaltung des Alltags ist oft der Kontext, aus dem die Fragen der Kinder entstehen.

Projekte können sich über ein paar Stunden hinziehen, oder auch über Monate hinweg immer wieder als Thema bearbeitet werden, bis sie zu aller Zufriedenheit beendet werden können. Das Thema entsteht meist aus der Vorliebe eines Kindes heraus oder aus einer Idee, die innerhalb einer Kleingruppe oder in der Gesamtgruppe gewachsen ist.

… kurz gefasst …

Angeregt durch einen Museumsbesuch erleben 12 Kinder im letzten Jahr vor ihrer Einschulung ein Projekt, das sich 10 Wochen lang mit dem traditionellen Leben der mongolischen Nomaden befasst.

Im Laufe dieser Zeit wächst die Gruppe zusammen, neue Freundschaften werden geknüpft.

Der Beitrag stellt auch die allgemeinen Grundzüge der Projektarbeit in dieser Kita dar, die kognitive, emotionale und soziale Erziehungsziele miteinander verbindet.

So war es aber nicht bei diesem Projekt. In der dritten Woche nach den Sommerferien verspürte ich, die Erzieherin, den Wunsch in die Bonner Kunst- und Ausstellungshalle zu fahren, um mir die Ausstellung „Dschingis Khan und seine Erben“ anzuschauen. Ich wusste nicht viel über diesen legendären Mongolen, der vor 800 Jahren gelebt hat, und fragte in die Gruppe der 10 anwesenden Vorschulkinder hinein, ob vielleicht noch jemand so neugierig wäre und mich ins Museum begleiten wollte. Zu meinem großen Erstaunen waren sie alle bereit, auf Erkundungsreise zu gehen.

Bemerkung:

Wir sind in der glücklichen Lage, dass in unserer Kita mehr begabte Kinder versammelt sind als statistisch zu erwarten ist. Wir haben etliche besonders und auch immer hoch begabte Kinder und sehr engagierte Eltern, die sich auch in den Projekten aktiv beteiligen und ihre besonderen Kompetenzen einbringen.

Dies ist schon lange so und ist unserer Arbeitsweise geschuldet, hat sich aber noch verstärkt, seit wir ein Integrativer Schwerpunktkindergarten für Hochbegabung sind.

Unsere Kita ist ein Magnet für Familien mit besonders begabten Kindern. Wir können daher bei unseren Kindern von viel Neugier, breiten Interessen und von einer hohen Lernmotivation ausgehen.

Dadurch dass wir viel in Projekten arbeiten, konnten unsere Kinder in den ersten zwei Jahren ihrer Kindergartenzeit viele Fähigkeiten und Fertigkeiten entwickeln, die ihnen dann bei diesem Projekt zugute kamen.

Wir verbrachten drei Stunden im Museum, davon 1,5 Stunden in den Museumsräumen und weitere 1,5 Stunden auf dem Museumsdach, wo im Rahmen der Ausstellung drei mongolische Jurten (Nomadenzelte aus Filz) präsentiert wurden.

 

 

 

 

Als Max, ein neues Kind in der Gruppe, mit vier weiteren Vorschulkindern im Bett einer Jurte lag, nannte er voller Inbrunst unser nächstes Projektthema:

“Ich will einmal so leben wie die Mongolen!“

Die übrigen Kinder fielen wie in einen Schlachtruf mit ein, und im Gleichschritt nebeneinander bis zur Bahn brüllten vier Mädchen und sechs Jungen:

„So leben wie Mongolen, so leben wie…“.

Von mir völlig unbeabsichtigt, wurde dieser Museumsbesuch zum neuen Projekt, das die nächsten dreieinhalb Monate andauern sollte, um schließlich im November in ein Mongolenfest zu münden.

Die hauptsächlich beteiligten Kinder

Unsere neue, diesjährige Vorschulgruppe besteht aus insgesamt 12 Kindern und ist bei genauem Hinsehen ziemlich zusammengewürfelt. Es sind sieben Jungen und fünf Mädchen. Neun Kinder davon sind in unserem Kindergarten in diese Vorschulgruppe ganz normal hineingewandert. Drei fünfjährige Kinder (zwei Jungen und ein Mädchen) sind Neuaufnahmen und gesellen sich seit August zu der Neuner-Vorschulgruppe hinzu. Also sind jetzt ein Dutzend Kinder mit uns auf dem Weg zur Schule, fast die Hälfte der ganzen Kindergartengruppe.

Zur Verflechtung der Kinder untereinander ist zu sagen, dass sechs dieser Kinder während der letzten zwei Jahre freundschaftliche Kontakte zu älteren Kindern pflegten, die nun in die Schule gekommen sind. Zwei weitere Vorschulkinder halten ihre Freundschaft zu Kindern aufrecht, die ein Jahr jünger sind als sie selbst. Dem neunten (alten) Kind ist es während des letzten Jahres bei uns nicht gelungen, eine beständige Freundschaftsbeziehung zu einem oder zu mehreren Kinder zu knüpfen.

Der gruppendynamische Stand im August 2005 ist also so, dass es keinerlei tiefere freundschaftliche Beziehungen in der alten Neunergruppe, aber auch noch nicht in der gesamten Zwölfergruppe der Vorschulkinder gibt. Für meine Kollegin und mich ist dies eine echte Herausforderung, diese Kinder in den nächsten Wochen für einander zu interessieren. Gleichzeitig dürfen die „mittleren“ Kinder nicht zu kurz kommen, und es müssen sechs Dreijährige behutsam in die Gesamt-Kindergartengruppe integriert werden.

Einen Vorteil einer so unstrukturierten Vorschulgruppe sehe ich darin, dass es kein starres Beziehungsgeflecht gibt und somit eine Öffnung zu allen Seiten hin möglich ist. Es herrscht große Freiheit für jedes Kind, Bindungen einzugehen. Gerade für die drei neuen Kinder ist das eine große Chance sich leicht zu integrieren, da ja alle auf „der Suche“ sind. Ein jeder zeigt sich mit seinen Qualitäten, aber ohne um die Gunst eines anderen zu buhlen.

Spürbar ist vom ersten Tag an, dass die Kinder auf die Suche gehen. Die drei ältesten Jungen schleichen wie Raubkatzen umeinander. Zuweilen wird auch gefaucht und die Tatzen werden ausgefahren – meistens ohne Krallen. Denn immer wieder muss neu geklärt werden, wer denn nun hier das Sagen hat.

Vier der Mädchen profilieren sich mehr in den schulischen Disziplinen, wie Lesen, Schreiben und Rechnen und loten so miteinander aus, wer eine adäquate Freundin werden könnte.

Drei gemeinsame Treffen, die ich einberufen habe, lassen in den Kindern mehr und mehr den Teamgedanken einer Fußballmannschaft wachsen (nach dem Vorbild aus dem Film „Die wilden Kerle“, der allen 12 Kindern bekannt ist). Helene, ein neues Mädchen aus der Gruppe, entpuppt sich schon bald als der wildeste aller Kerle, was sowohl von den Mädchen, als auch von den Jungen mit Spannung beobachtet wird.

In all diese Beziehungswirren kommt plötzlich der glückliche Zufall ins Spiel mit einem rahmengebenden Thema.

Vorschau auf das Mongolenprojekt

Die Kinder erfuhren von mir, dass in wenigen Wochen die Ausstellungsstücke wieder in die Mongolei zurück gebracht werden. Wir beschlossen daher, eine eigene Ausstellung zu dem Thema „So leben wie die Mongolen“ in unserem Kindergarten aufzubauen.

Eine Woche später gingen wir auf Wunsch der Kinder nochmal ins Museum. Alle 12 Vorschulkinder waren dabei, um gemeinsam zu überlegen, was wir alles für unsere „Mongolen-Kindergartenausstellung“ brauchen könnten, die in einem Mongolen-Fest ihren Abschluss finden sollte.

Kreative Vorschläge der 12 Vorschulkinder.

  • Im Außengelände soll eine Jurte nur von den Vorschulkindern gebaut werden.
  • Dort sollen dann die von uns auf Leinwand und mit Ölfarbe gemalten Khanfrauen ausgestellt werden.

Die Skizzen wurden im Museum direkt vor den Originalen auf Leinwand angefertigt und in der Kita dann mit Ölfarben (Rot und Gold auf Weiß) fertig gemalt.

 

 

 

 

 

 

 

 

  • Wir wollen Hocker und ein Schränkchen genauso bunt anmalen wie in der echten Jurte!
  • Die Filzwände der Jurten beeindruckten die Kinder ebenfalls sehr, und so planten sie „einmal etwas ganz Großes für die Jurte zu filzen“, und einigten sich auf einen Filzteppich.
  • Auch Filztaschen, wie sie im Museum zu sehen waren, wollten die Kinder herstellen. Um die Taschen zu formen, wurde ein großer Stein benutzt.

 

  • Die in einem Museumsfilm gesehene „Pferdekopfgeige“ sprach die Kinder in besonderer Weise durch ihre Form und ihren Klang an. Da dieses Instrument, wie wir im Film erfuhren, in jeder mongolischen Familie zu finden ist, durfte sie natürlich auch bei uns nicht fehlen.
  • Derra, eine Studentin aus der Mongolei, die ich in der Ausstellung angesprochen hatte, erklärte sich bereit an drei Tagen in unsere Einrichtung zu kommen.
  • Sie wollte etwas von ihrem Land erzählen, wo sie 17 Jahre mit ihrer Familie in einer Jurte gelebt hat, und uns dieses Jurtenleben an Hand von Fotos nahe bringen.
  • Des weiteren erklärte sie sich bereit, mongolische Musik mit zu bringen, um mit uns ein Lied und einen Tanz einzuüben.
  • Zum Schluss möchte Derra für unser Fest ein mongolisches Essen mit den Kindern vorbereiten.

Grundsätze unserer Pädagogik – in der die Projektarbeiten eine wichtige Rolle spielen

Wir Erzieherinnen verstehen uns als Kooperationspartnerinnen und Begleiterinnen der Kinder. Wir beobachten und nehmen das Verhalten der Kinder wahr und hören ihnen gut zu. Wir unterstützen, ermutigen, geben Impulse, beziehen Stellung, garantieren Sicherheit und gewähren trotzdem genügend Freiraum. Wir geben ihnen, wenn sie es wünschen, neue Anregungen für ihr Spiel oder für ein Projekt.

Ich halte die Aktionen innerhalb von Projekten in besonderer Weise für geeignet, um einen Rahmen für das Anbahnen stabiler Beziehungen in der Gruppe zu bieten. Gerade in unserer aktuellen Vorschulgruppe ist das ein sehr wichtiger Aspekt. Denn hier, wo das Bedürfnis nach Anerkennung, Sicherheit und Zugehörigkeit eine große Rolle spielt, ist ein Projekt eine gute Möglichkeit, den Wünschen der Kinder gerecht zu werden. Innerhalb der Projektarbeit entsteht ein soziales Geflecht aus Kindern und Erwachsenen, in dem sich Ideen, Vorstellungen und Bilder im gemeinsamen Austausch weiter entwickeln können. Somit verstehe ich die Projektarbeit als einen Rahmen, in dem sich die Selbstbildung eines Kindes als Prozess des sozialen Austausches produktiv entwickeln kann.

Wie werden Projekte bewegt?

Ich bin der Meinung, dass nur jemand ein Projekt in Gang bringen und in Schwung halten kann, der die Kinder und ihre wahren Interessen kennt, der sie mit Aufmerksamkeit durch den Kindergartenalltag begleitet und zu den Fragen und Ideen, die die Kinder äußern, eigene Fragen und Ideen hinzufügen kann.

Projektentwicklung gelingt im Kindergarten nicht ohne aufmerksames Wahrnehmen der Kinder und einfühlendes Verständnis für die Themen, mit denen Kinder sich im Verlauf ihrer Spiele und Alltagstätigkeiten beschäftigen.

Unsere Kinder werden als kompetente, starke und kreative Persönlichkeiten betrachtet. Uns kommt die Aufgabe zu, diesen Reichtum der Kinder zu bewahren und Möglichkeiten bereit zu stellen, um diese Schätze zu mehren. Erst innerhalb der Projektarbeit habe ich während meiner vielen Berufsjahre erfahren dürfen, dass es eine Methode ist, bei der ich vielen Kindern eine gute Unterstützung für eigenständiges Lernen und kreatives Lösungsfinden geben kann.

Wenn ich beispielsweise allein die Ideenvielfalt bei einer Aufgabenstellung betrachte, möglichst viele unterschiedliche Verwendungszwecke für eine Büroklammer zu finden, fasziniert mich bei Kindern das Sprudeln der Gedanken, besonders viele und originelle Ideen zu entwickeln, auf die ich selbst nicht gekommen wäre. (Kinder kennen oftmals nicht den eigentlichen Zweck einer Büroklammer, und dieses Unwissen erlaubt ihnen einen unbefangenen Umgang damit und lässt somit die Büroklammer in neuem Licht erstrahlen.)

„Versagen“ oder „falsch machen“ gibt es bei uns nicht, sondern nur versuchen und neu erschaffen. Unsere Kinder wissen, dass Irrtümer gelassen betrachtet werden und das Entdecken Vorrang vor der Irrtumsvermeidung hat. Das sichere Wissen darum lässt die Kinder auch im kreativen Tun frei schaffen und gestalten. Denn Kinder sind nun mal die geborenen Erfinder, Stauner, Zauberer. Eine alte Decke und zwei Stühle – fertig ist die Höhle. Der blaue Teppich verwandelt sich in den Ozean und der Sandkasten in die Wüste oder in eine Vulkanlandschaft. Wir erleben es Tag für Tag und Stunde um Stunde. Wir erleben die Offenheit des Kindes und bekommen das Kind in seiner Spielnatur und seiner Schaffenskraft zu sehen. Erst wenn ein Kind Ermutigung erfährt, lernt es, zuversichtlich zu sein.

Wie lässt sich dieses schöpferische Potenzial weiter fördern und entwickeln?

Gewiss nicht in Betreuungsanstalten, in denen das Programm im Ausmalen und A usschneiden von Vorgedrucktem besteht. Nein, es sind eher die spielzeugreduzierten Einrichtungen, mit ihren Werkstätten, Labors, Denker-Ecken und vielen Freispielräumen auch im Außengelände, in denen Kinder gemeinsam Aufgaben lösen dürfen, die zu bewältigen ihnen vorher niemand zugetraut hätte – zum Beispiel wie gerade bei uns geschehen, gemeinsam eine Jurte zu bauen oder einen Jurtenteppich zu filzen.

Unsere Jurte ist etwas kleiner als das Original, gerade groß genug für die Kinder, die sich über viele Wochen immer wieder in ihr treffen, um zu beratschlagen, Geheimnisse auszutauschen und Pläne zur Eroberung des Beueler Graslandes zu schmieden. (Beuel heißt unser Stadtteil.)

Beim Bau der Jurte konnte ich erleben, wie ein gemeinsames Erfolgserlebnis das Selbstwertgefühl des einzelnen Kindes und das der Gruppe gestärkt hat. Denn während dieser Arbeit mussten die Kinder ihre Verhaltensweisen aufeinander abstimmen.

Es brauchte auch gemeinsamen Gleichklang und große Ausdauer, einen Teppich in den Ausmaßen 2 Meter mal 1 Meter zu filzen, auch wenn die Kinder schon vorher mit der Technik des Filzens vertraut waren.

Die von den Kindern leuchtend orange und blau bemalte Einrichtung, die Stühle und der Schrank, sind Miniaturausgaben der klassischen mongolischen Einrichtung einer Jurte, wie die Kinder sie im Museum gesehen hatten.

Auch die Pferdekopfgeige, die in keiner Jurte fehlen darf, wurde von den Vorschulkindern eigenständig gebaut.

In den 10 Projektwochen erlebten die Kinder Aktionen, die zeigen, dass auch Kindern in dieser Altersstufe ein Verständnis und eine Annäherung an andere Lebensweisen und eine andere Kultur ermöglicht werden kann – und sie dabei viel Freude empfinden.

Derra, die junge mongolische Studentin, kam in ihrem grünseidenen mongolischen Gewand in den Kindergarten und erzählte von ihrer Kindheit in einer Jurte in der mongolischen Steppe. Viele Fragen konnte sie beantworten, manches blieb offen für Träume und Fantasien. Die Kinder waren durchaus empfänglich für die Geisteshaltung einer naturnahen Kultur, die zum Beispiel die Türschwelle ihrer Behausung, der Jurte, nicht mit den Füßen berührt, damit das Gleichgewicht zwischen den Welten Drinnen und Draußen nicht gestört wird.

 

 

Warum es wichtig ist zu dokumentieren

Die Dokumentation der Arbeiten der Kinder (zum Beispiel mit der Digitalkamera) dient nicht nur der abschließenden Präsentation der Ergebnisse des Mongolenprojekts, sondern sie ist vielmehr ein wichtiger Beitrag für den Diskussionsprozess in der Gruppe.

Die Bilder dienen dazu, die Vorschulkinder in Schwung zu bringen und die Denkprozesse der Kinder in der Diskussion miteinander voranzutreiben. Ebenso dienen die Fotos auch als Vorlage zur Orientierung, beispielsweise bei der Gestaltung der bunten mongolischen Möbel. Im Museum selbst durfte natürlich nicht fotografiert werden, aber auf dem Dach des Museums, wo die Jurten standen, konnten wir viele Eindrücke festhalten.

Zudem geben die Fotos jedem Kind auch immer wieder die Möglichkeit, seine Empfindungen, Gefühle, Vorstellungen, Fantasien und Gedanken anzurühren und sie in der Gruppe kund zu tun.

Wie ist im Projekt die Integration der 12 Vorschulkinder gelungen?

Was die Gruppe der Vorschulkinder von Beginn des Projektes an vereinte, waren ihre offene und aufnehmende Haltung und ihr gleich hohes Interesse an den Ausstellungsstücken im Museum. Das war das erste, was diese Gruppe schnell zu einer Interessengemeinschaft verband.

Immer wieder kamen, von Neugierde und Wissensdurst getrieben, die Fragen der Kindern zu dem, was sie in der Mongolenausstellung entdeckten. Des Öfteren bat ich einen Museumswärter, die Kinder zu informieren, was einige mit sichtlichem Stolz auch taten, andere waren mit dieser Aufgabe eher überfordert.

Innerhalb der gemeinsamen Planung waren alle 12 Kinder bereit, zielgerichtet für das Mongolenfest zu arbeiten. Sie hatten alle viel Spaß beim gemeinsamen Gestalten von Möbeln, dem Filzen des Teppichs, dem Bau der Jurte, dem Malen mit Ölfarbe auf Leinwand.

All diese Gemeinschaftserfahrungen, die großen Erfolgserlebnisse und das Tun miteinander, haben die Gruppe sehr gut zu einander finden lassen.

Drei neue Freundschaften haben sich gefestigt. Unsere drei neu aufgenommenen Kinder sind so gut integriert, dass es für Außenstehende nicht zu erkennen ist, um welche Kinder es sich handelt. Die drei ältesten Jungen haben während dieser Zeit gemerkt, dass sie zusammen „ein echt gutes Team sind“, das gemeinsam wirklich viel schaffen kann. Es gibt kein Kind in dieser Gruppe, das sich nicht zugehörig fühlt . Für die Kinder ein riesiger Erfolg in sehr kurzer Zeit!

Wie können wir besonders und hoch begabte Kinder angemessen im Kindergarten fördern?

Ich denke, dass das Kind eine gute Lernumgebung dort vorfindet, wo es selbst frei entscheiden kann, mit welchen Materialien es sich selbstständig auch in Einzelarbeit beschäftigen will. Dabei ist es egal, ob es das frühe Interesse an Zahlen, Zählen und Rechnen ist oder eine große Neugierde für Buchstaben, bis dahin, dass ein Kind sich schon selbst das Lesen beibringt. Stets ist es die Aufgabe der Einrichtung Freiräume bereitzuhalten, in denen sich das begabte Kind in die „Denker-Ecke“, oder in eine Lernwerkstatt zurückziehen und dort individuelle Unterstützung von uns Erwachsenen bekommen kann.

Gute Einrichtungen sollten in der Lage sein, den Bedürfnissen der hoch begabten Kinder gerecht zu werden und sie differenziert zu fördern. Dies kann allerdings zuweilen eine Herausforderung für die Erzieherinnen darstellen. Denn diese Kinder möchten sich oftmals mit Themen beschäftigen, die in vielen Einrichtungen ungewöhnlich sind oder der Schule zugeordnet und darum auf „später“ verschoben werden.

Es sind Kreativität, neue Ideen und Mut zur Veränderung gefragt. Denn ich weiß, dass es nicht notwendig ist, auf alle Fragen von Kindern eine Antwort zu wissen. Wichtiger ist es, sich gemeinsam auf die Suche nach Antworten zu machen. Eins habe ich in den letzten Jahren selbst erfahren dürfen: Erst wenn es wirklich gelingt, dass der Kindergarten ein Ort lebendigen Lernens ist, profitieren davon nicht nur besonders begabte, sondern alle Kinder in der Einrichtung.

Geben wir mehr Platz für Fantasie und Kreativität!

Wir können dafür sorgen, dass sich die Kinder in einer kreativen Umgebung wohl fühlen, dass sie Vertrauen haben und wissen, wie sie sich selbstverständlich in einem Museum bewegen können, dass wir sie ermutigen auch einmal etwas „Verrücktes“ auszuprobieren – und ihnen helfen, wann immer sie danach verlangen.

Die Kinder können spüren, dass wir selbst neugierig und experimentierfreudig sind, dass wir Geduld und Humor haben und dass bei uns ein Fehler nichts Schlimmes ist, sondern eine in diesem Zusammenhang nicht brauchbare Lösung.

Das Mongolenfest

Zum Höhepunkt unseres Projektes wurde das große Mongolenfest im Kindergarten. Die Kinder hörten die traurige Geschichte der tiefen Liebe eines armen Jungen zu seinem Pferd, ein Nationalmärchen der Mongolei. In einem Reitparcours verwandelten die Kinder sich dann selber in wilde Steppenpferde, und beim Bogenschießen wurden die Jungen zu edlen Kriegern, während die mongolischen Prinzessinnen ihre amazonischen Fähigkeiten bewiesen.

Der mit Derra eingeübte traditionelle Tanz, der im Frühling getanzt wird, wenn die ersten Kälber geboren wurden, sowie das Fladenbrot und der warme Milchreis einte sie schließlich alle.

Ab Mittag durften die Eltern mitfeiern und erlebten eine fröhliche Kindergartenhorde, die sich in den traditionellen Sitten und Gebräuchen der Mongolen gut auskannte.

 

 

 

Siehe auch: Fördern in Projekten

Datum der Veröffentlichung: Januar 2012
Copyright © Beate Kroeger-Müller, siehe Impressum.

Schneewelten durch die Linse gesehen – Ein Kunstprojekt mit Fotografie

von Beate Kroeger-Müller

 

Fotografieren ist für viele Kinder eine attraktive Beschäftigung. Die Digitalfotokamera hat für Kids einen großen Aufforderungscharakter und ist ein wunderbar kindliches Medium, mit dem sich experimentieren und produzieren lässt.

Die neun Fünfjährigen unserer Kita wurden dazu angeregt, mit Digital-Kameras genau dies zu tun. Da ich selbst leidenschaftlich gerne fotografiere, sowohl privat als auch im Kindergartenalltag, konnte ich die Kinder gut anleiten.

Es sind viele tolle Fotos entstanden. Hier ist nur eine kleine Auswahl zu sehen. Zum Vergrößern klicken Sie bitte auf das Bild. Mit der Rücktaste (links oben auf der Seite) kehren Sie zur ursprünglichen Größe zurück.

Das Display einer Digital-Kamera begrenzt den Blickwinkel auf spezifische Weise. Scheinbar Unwichtiges wird auf einmal wichtig. Mit jedem Bildausschnitt, den ein Kind entdeckt, entwickelt es einen Sinn für die kreativen Möglichkeiten der Fotografie. Die Kinder können mit Hilfe der fotografierten Bilder das festhalten, was ihnen wichtig ist oder was sie beschäftigt, von Schneemonstern über geheimnisvolle Spuren im Schnee bis hin zu den ersten Frühlingsboten, die sich unter einer dicken Schneehaube verstecken. Mit viel Spaß entdeckten, vergrößerten, verfremdeten diese neun Fotodetektive scheinbar Objektives ganz subjektiv.

Durch den oft ungewöhnlichen Blick der Kinder, durch Nahaufnahmen oder Froschperspektiven, wirken banale Dinge auf einmal mächtig und eindrucksvoll. Fotografiert man sie jedoch von oben herab, wirken die gleichen Motive auf einmal ganz anders, eher klein, fast schon verloren.

Eine Woche vor den geplanten Ausflügen in die Schneewelten wurden die Eltern gebeten, ihre Kinder zu Hause mit der Handhabung der Kamera vertraut zu machen. (Alle Eltern waren einverstanden, ihrem Kind die Kamera mitzugeben – ein großer Vertrauensbeweis für ihre Kinder und auch für uns Erzieherinnen!)

So wussten die Kinder, wie die Kamera zu halten, wie sie ein- und auszuschalten ist und wie die Zoomfunktion bedient wird.

Wegen der großen Kälte (am ersten Ausflugstag herrschten minus 8 Grad Celsius) sollten die Kinder beim Fotografieren Fingerhandschuhe anziehen und darauf achten, die Kamera in den Pausen nah am Körper zu tragen, damit sich der Akku nicht zu schnell entladen konnte.

Unser Ziel, das wir zu Fuß erreichen konnten, war die Sieg, der Nebenfluss des Rheins, in dem die Kinder im Sommer schwimmen lernten und dessen Uferauen ihnen gut vertraut waren, auch der Weg dorthin, so dass ich allein mit den Kindern losziehen konnte.

Meine Aufgabe sah ich darin, den Kindern zu zeigen, wie ich selbst fotografiere. Den Wechsel der Perspektive, das Näherherangehen, das lange Verweilen vor einem Motiv, um Veränderungen zu bemerken, machten die Kinder nach und erarbeiteten sich so ihre eigenen Erfahrungen.

Schon nach dem ersten von vier Projekttagen der „Schneewelten“, war die Lust der neun Vorschulkinder geweckt. Nach jedem Ausflug im Schnee bot sich für die Kinder der Vorteil, ihre Bilder direkt im Kindergarten auf einen Laptop herunterzuladen, um selbst entscheiden zu können, welche der Bilder gespeichert werden und welche nicht.

Immer zu zweit saßen die Kinder im Kindergarten vor meinem Laptop und lernten ihre Bilder zu bearbeiten. Manche fügten auch ihren Namen ein. Das Kind, dessen Bilder gerade betrachtet wurden, wählte aus, welches Bilder in unsere Ausstellung kommen sollten, das andere Kind notierte die Nummern der in die Auswahl genommenen Fotos.

Nachdem die Auswahl der Fotos von den Kindern auf dem Laptop beendet war, kam der Filialleiter eines Drogeriemarktes ins Spiel. Wir sind seit langem gute (Foto-) Kunden, und er erklärte sich bereit, unser gesamtes Fotoprojekt zu unterstützen. Dadurch konnte jedes Kind seine favorisierten Fotos selbstständig im Markt ausdrucken – und dies kostenlos! Auch wurde den Kindern erlaubt, vier Poster-Collagen mit ihren Bildern zu erstellen und für die Vernissage der „Schneewelten“ mit in ihren Kindergarten zu nehmen.

Welch tolle Reklame für den Drogeriemarkt – eine wirkliche win-win-Situation!

Über hundert Fotos schmückten nun für die nächsten zwei Wochen das Kaminzimmer des Kindergartens und luden ein, in die Perspektive eines Kindes im Schnee zu schlüpfen, das auf Entdeckungstour ist. Aus einigen Bildern fertigten wir Collagen an, die auch von zwei Großelternpaaren gekauft wurden. Ihre eigenen Bilder konnten die Kinder natürlich mit nach Hause nehmen.

 

Seine Fortsetzung fand dieses Projekt in einer Fotosafari im Frühling.

Datum der Veröffentlichung: Dezember 2011
Copyright © Beate Kroeger-Müller, siehe Impressum.

Kinder interpretieren ein Bild von Dalí

von Klaudia Kruszynski

 

In unserem Kindergarten lief ein längeres Projekt zum Thema: Kunst. Gleichzeitig waren die Kinder und ich noch mit unserem sehr umfangreichen Projekt: Zeit beschäftigt. Im folgenden Projekt kam Beides gut zusammen.

Die Turnhalle war für das Kunst-Projekt zu einem großen Atelier umgewandelt worden; dort konnten die Kinder verschiedene Gestaltungs-Techniken ausprobieren. Eine Kollegin betreute die Kinder – sie zeigte, wie man mit Farben, Pinseln, Kreiden und anderen Materialien umgeht. Sie kümmerte sich um die richtige Arbeits-Atmosphäre. Dieses Angebot war für alle Gruppen verfügbar: Aus jeder Gruppe durften bis zu vier Kinder gleichzeitig ins Atelier gehen.

Gleichzeitig liefen auch Projekte in den einzelnen Gruppen.

 

In meiner Gruppe beschäftigten wir uns zuerst mit dem menschlichen Körper als einem Ausdrucksmittel für verschiedene Gefühle. Die Kinder zeigten pantomimisch Aktivitäten aus dem täglichen Leben.

Als ein Kind von einem Museum mit Wachsfiguren erzählte, beschlossen wir, auch Skulpturen zu erschaffen. Dazu benutzten wir unsere Körper, Licht und einen Fotoapparat. Auf diese Weise sind Skulpturen aus Schatten entstanden, die eigentlich Fotos von den Kinderschatten waren.

Ständig überlegte ich derweil, wie bei diesem Projekt das Thema „Die Zeit“ einfließen könnte. Und so träumte ich in einer Nacht von einem Bild, das ich schon als Kind in einem Buch gesehen hatte. Es waren Uhren drauf, die „hängen“.

Ich fand heraus, dass Salvador Dalí es gemalt hat. Wir haben es im Internet gefunden und auf einem Din A4-Blatt ausgedruckt. Das Bild heißt: „Die Beständigkeit der Erinnerung“, ist aber auch unter den Titeln: „Die weichen Uhren“ oder „Die zerrinnende Zeit“ bekannt.

 

 

 

So habe ich beschlossen, mit den Kindern die Natur der Zeit von der philosophischen Seite her zu erforschen und gleichzeitig unser eigenes Bild zu erschaffen.

 

… kurz gefasst …

Die Autorin verbindet zwei bereits begonnene Projekte: „Kunst“ und „Zeit“. Sie arbeitet mit den Kindern ein Bild von Salvador Dalí nach und führt die Kinder zu einem tieferen Verständnis des Begriffes „Zeit“.
Ein anspruchsvolles Projekt, das auch hoch begabten Kindern genügend Herausforderung bietet.

An einem Morgen breitete ich im Stuhlkreis auf dem Boden ein rotes Tuch aus. Die Kinder waren gespannt und warteten leise auf das, was passieren sollte. Vom CD-Spieler lief „Time“ von Pink Floyd – am Anfang hört man Geräusche, die mehrere Uhren auf einmal machen: Ticken, Schlagen, Läuten. Aus einer silbernen Dose holte ich verschiedene Uhren heraus und legte sie auf das Tuch. Es waren Armbanduhren und Wecker, manche gingen, manche nicht.

Die Kinder erforschten die Uhren, hielten sie ans Ohr und lauschten, probierten den Wecker aus. Sie zählten alle Uhren durch. Sie wussten, dass die Uhren zum Zeitmessen da sind.

 

Nach einer Weile habe ich die Kinder gefragt, wie sich die Uhren anfühlten. „Sie sind hart“.

„Wieso?“

„Weil sie aus Metall sind“.

Dann wagte ich die nächste, gleichzeitig schwierigere Frage: „Wie fühlt sich die Zeit an?“

Die Kinder wussten keine Antwort. Ich habe die Frage wiederholt und gewartet. Dann sagte Jan, dass die Zeit weich ist.

„Wieso?“

„Weil sie sich bewegt“.

„Kann man die Zeit genauso wie die Uhr in die Hand nehmen?“

„Nein!“, meinten mehrere Kinder.

„Wieso?“

„Das geht nicht.“

„Die Zeit läuft immer so:“, sagte Jan und machte mit der Hand mehrere Kreisbewegungen.

Dann erzählte ich den Kindern von einem Künstler, der sich auch Gedanken über die Zeit gemacht hat. Er hat genauso wie die Kinder gesagt, dass die Zeit weich ist und überlegte sich, wie er das auf einem Bild malen kann. Ich zeigte das Bild und erzählte etwas zu seiner Entstehung.

Salvador Dalí machte mit seinen Freunden Urlaub in einer schönen Gegend, die er auf ein Bild malte. Bei einem Abendessen gab es gebackenen Camembert. Als das Essen vorbei war, blieb der Künstler noch am Tisch und machte sich Gedanken über das Zerrinnen der Zeit, über ihre Weichheit, dann ging er in sein Atelier, sah sein angefangenes Bild mit der Landschaft und malte die weichen Uhren darauf.

Die Kinder hörten dieser Erzählung zu, und gleichzeitig betrachteten sie das Bild.

„Was ist weich auf diesem Bild?“

„Die Uhren.“

„Was ist hart?“

„Die Berge, der Tisch.“

Dann entdeckte Jan den Baum und sagte, dass der Baum jetzt „tot“ ist, aber wenn der Frühling kommt, dann wachsen neue Blätter drauf und dann ist der Baum „nicht mehr tot“.

So erkannte er den Unterschied zwischen den leblosen, harten Bergen und dem augenblicklich scheintoten Baum: die Zeit wird den Baum wieder lebendig (weich in der Zeit) machen, aber die Felsen bleiben immer tot (hart in der Zeit).

„Wie bist du auf diesen Gedanken gekommen?“ wollte ich wissen.

„Weil auf dem Ast eine Uhr wie ein Pfannekuchen hängt, und wenn sie tickt, kommt der Frühling und neue Blätter werden wachsen.“

„Das ist interessant“, sagte ich und fragte, ob wir auch so ein Bild malen sollten.

Alle Kinder wollten es, deshalb sagte ich, dass wir schon am Nachmittag damit anfangen werden.

Wie können wir unser Bild gestalten?

Nun machte ich mir Gedanken, wie ich das Ganze gestalterisch umsetzen könnte. Dabei war mir wichtig, dass die Kinder ein Gemeinschaftswerk erschaffen, dass die Kinder ihre unterschiedlichen Begabungen und Interessen zum Einsatz bringen, und natürlich, dass wir einen Erfolg haben werden und ein schönes Bild kreieren. Ich probierte ein paar Maltechniken aus, darunter „Nass in Nass“, aber die Ergebnisse waren nicht gut.

Wie kann man die Weichheit der Uhren darstellen?

Ich wollte nicht, dass die Kinder das Bild einfach nur nachmalen. Dann erinnerte ich mich an den „Pfannekuchen“ und nahm es in Betracht, wirklich Pfannekuchen zu backen und sie auf dem Bild zu platzieren. Der Gedanke, dass sie schon nach paar Tagen verschimmeln würden, hielt mich davon ab.

Aber Knete wird nicht schlecht. Ich kaufte Fimo-Knete in zwei Farben – daraus lassen sich gute, haltbare, weiche Uhren machen.

So wurde unser Bild dreidimensional. Ein großer Karton wurde zuerst mit weißem Papier ausgekleidet, dann wurde im Inneren die Landschaft nachgemalt: die Berge, der Himmel und die dunkle Ebene. Ein kleinerer Schuhkarton wurde braun angemalt und seitlich im Bild befestigt. Wir steckten einen Ast hinein. Das nicht-eindeutige Gebilde in der Mitte des echten Kunstwerkes machten wir aus zusammengeknülltem Papier und befestigten es ebenso im Inneren.

 

 

 

 

 

 

 

 

Am nächsten Tag machten die Kinder die Uhren und hängten sie ins Bild rein.

 

 

 

 

 

 

 

 

So, wie es von mir geplant war, beteiligten sich mehrere Kinder an diesem Projekt.

Aaron, 4;5 Jahre alt

Er malt sehr gerne und zeigt sehr viel Ausdauer bei dieser Tätigkeit. Man kann ihm seine große Freude am Malen in der ganzen Körperhaltung ansehen.

Leo, 5 Jahre alt

Normalerweise hält er sich im Hintergrund, aber als er gesehen hat, dass wir aus Fimo die Uhren machen wollten, meldete er sich und bestand drauf, dabei sein zu dürfen. Ich bin sehr überrascht gewesen, dass er so stark motiviert war. Er hat eine Uhr gemacht und zeigte dabei sehr viel Fingerfertigkeit und Ausdauer.

Linea, 5;6 Jahre alt

Sie glänzte mit ihrer Begeisterung fürs Gestalten.

Sven, 4;4 Jahre alt

Er erkannte dieses Angebot als etwas, was für ihn wichtig war. Er beteiligte sich an allen Aktivitäten, die mit diesem Kunstprojekt verbunden waren. Er bemalte das Innere des Kartons, mischte die Farben. Danach knetete er aus Fimo eine Uhr. Es war ihm sehr wichtig, dass Alles genau gemacht wurde. Deswegen nahm er eine Uhr mit beweglichen Zeigern, und jedes Mal stellte er die Uhr auf die nächste Stunde, bevor er mit dem Legen der Stundenzahl anfing. Er zeigte eine gute Fingerfertigkeit, und natürlich hat er bewiesen, dass er die Zahlen schon richtig lesen kann.

Ich kann noch nicht sagen, wie begabt er ist. Das, was mich bei Sven fasziniert, sind die Begeisterung und Freude an außergewöhnlichen Angeboten. Er ist mit seinem ganzen Wesen daran beteiligt und kann sich dabei sehr lange konzentrieren. Er hat auch schon ziemlich viel Wissen über verschiedene Sachen und teilt es uns sehr oft mit.

Jan, 5;3 Jahre alt

Er ist ein kleiner Denker. Man kann erkennen, dass er sich schon viele Gedanken zu verschiedenen Sachen gemacht hat – seine Erkenntnisse teilt er uns mit.

Im Gegensatz zu den meisten Kindern, die die Fragen direkt aus ihrem gespeicherten Wissen beantworten (entweder haben sie die richtige Antwort schon irgendwann gespeichert oder noch nicht) ist Jan in der Lage, sich die Antwort zu überlegen.

Bei neuen Problemen benutzt er Analogie und Vergleich, oder aber er gibt eine beliebige Antwort und verifiziert sie. Das bereitet ihm besonders viel Spaß. Auf eine Weise kann er auch erkennen, worum es seinem Gesprächspartner geht, und aus diesem Grund gibt er oft die gewünschte Antwort. Er zeigt Empathie gegenüber den Anderen, kann erkennen, wenn er jemanden verletzt hat oder eine Grenze überschritten hat, und dafür kann er sich von sich selbst aus entschuldigen.

Die Umsetzung eigener Ideen ist ihm nicht so wichtig, oft beendet er die Aufgabe gar nicht. Bei der Darstellung der Uhr legte er wenig Wert auf die Genauigkeit – seine Uhr war ein Kreis mit zwei Zeigern.

Andere Kinder

Immer wieder beteiligten sich auch andere Kinder an diesem Angebot. Im Stuhlkreis erlebte die ganze Gruppe eine wunderschöne Meditation mit der Musik einer Rockband, die mich schon in meiner Jugend begeisterte. Mehrere Sinne wurden dabei angesprochen: Hören, Sehen, Fühlen.

Die Kinder konnten es selbst prüfen, dass die Uhr und die Zeit zwei verschiedene Dinge sind: die erste ist konkret, man kann sie in die Hand nehmen, sie verstellen, ans Ohr halten und lauschen; die zweite, obwohl jeder weiß, dass es die Zeit gibt, lässt sich nicht in die Hand nehmen, man erkennt sie indirekt, zum Beispiel durch Veränderung, Ticken, Wachsen, Älterwerden.

Die Uhr ist hart und fest, die Zeit ist weich und veränderbar.

Man kann auf der Uhr die Zeit vergehen sehen – die Zeiger bewegen sich.

Auch manche Sachen verändern sich mit der Zeit, zum Beispiel ein lebloser Ast wird im Frühling wieder lebendig, der Fels bleibt immer leblos.

Wenn man eine weiche Uhr macht, kann man dadurch die Zeit darstellen. Die weiche Uhr ist das Leben.

So konnten die anderen Kinder die Gedanken des berühmten Künstlers nachvollziehen.

Meistens waren die Anderen nur als Beobachter dabei, sie zeigten sehr viel Interesse daran, was Sven, Aaron oder Jan machten.

Unser Kunstwerk wurde mehrere Tage von den Eltern bewundert, die Kinder erklärten, wie das mit der Zeit gemeint ist.

 

 

 

 

 

Die beteiligten Kinder haben sich als Künstler wahrgenommen, sie waren stolz darauf, etwas Schönes erschaffen zu haben.

Das hat sich wieder auf die Einstellung zum Malen ausgewirkt, so war es bei Sven, der sehr selten an den Maltisch geht, weil er das, was er malen will, noch nicht zufrieden stellend umsetzen kann.

In dieser Zeit lernte er viele Maltechniken, die keine ausgereifte Fingerfertigkeit benötigen, sondern mit Freude am Experimentieren, Fantasie, Mut und Zufall zu tun haben.

Er hat Vertrauen in seine eigene schöpferische Kraft gewonnen. Ähnlich war es bei den anderen Kindern.

 

 

 

 

 

 

 

Projekte sollen gemeinschaftlich und ganzheitlich sein

Mehrere geben etwas von sich, und aus den Teilen entsteht etwas, was Alle verbindet und Allen gehört . Bei meinen Projekten lege ich immer sehr viel Wert darauf.

Aber es geht dabei noch um viel mehr: mehrere Bereiche der kindlichen Entwicklung werden einbezogen, von den einfachsten Sinnes-Erfahrungen und der Wahrnehmungsschulung bis zum Philosophieren und kreativen Denken.

Das verstehe ich unter  ganzheitlichem Lernen.

In diesem Projekt waren beteiligt:

  • die akustische Wahrnehmung:
    Geräusche, die Uhren machen; Musik hören; die Geräusche der Uhr künstlerisch interpretieren; den Rhythmus erkennen, selber rhythmische Geräusche produzieren;
  • die visuelle Wahrnehmung:
    das unterschiedliche Aussehen verschiedener Uhren; Betrachten eines Kunstwerkes – Erkennen der Bestandteile, Formen und Farben; Wahrnehmung eines momentanen Zustandes und langzeitige Beobachtung einer Veränderung (zum Beispiel des Wanderns der Uhrzeiger); Erkennen verschiedener Geschwindigkeiten;
  • die taktile Wahrnehmung:
    Befühlen verschiedener Materialien, woraus die Uhren gemacht worden sind; Befühlen und Bearbeiten einer Knetmasse; Formen der Zeiger und Zahlen mit den Fingern; Erkennen der Unterschiede der Festigkeit;
  • kognitive Bestandteile:
    Zahlen und Zählen; Wissen über die Zeit, über die Uhren, über den Künstler aneignen; Probleme erkennen und Lösungen suchen; philosophieren; Verstehen und Benutzen künstlerischer Ausdrucksweisen / Metaphern.

In all diesen Bereichen sind auch kreative Anteile vorhanden: etwas mit den Händen erschaffen und neue Ideen, Gedanken produzieren.

 

Was mir noch klarer geworden ist

  • Jedes Thema eignet sich, um die verschiedenen Begabungsarten der Kinder zu erkennen und zu fördern.
  • Zu jedem Thema kann man verschiedene Angebote durchführen, die mehrere Bereiche der kindlichen Entwicklung ansprechen.
  • Das Ansprechen mehrerer Sinne stärkt die Aufmerksamkeit, verlängert die Konzentrationsdauer und erschafft eine besondere Atmosphäre, die die Motivation begünstigt.
  • Durch Einbeziehen individueller Begabungen und Stärken wird die Zugehörigkeit des Einzelnen zur Gruppe gestärkt.
  • Die Gruppe profitiert von Begabungen der Einzelnen, bekommt Anreize und die Entwicklung wird stimuliert.
  • Einfache Techniken im gestalterischen Bereich ermöglichen Erfolg, besonders bei den Kindern, die im feinmotorischen Bereich noch nicht so weit entwickelt sind.
  • Meine Begeisterung für dieses Thema wurde von den Kindern nachvollzogen und der Funke konnte auch auf sie überspringen.

In dem Beitrag Mathematische Begabungsförderung im Kindergarten habe ich untersucht, welche mathematischen Inhalte (für hoch begabte / für nicht hoch begabte Kinder) in diesem Projekt enthalten sind.

 

Datum der Veröffentlichung:  Juni 2012
Copyright © Klaudia Kruszynski, siehe Impressum.